L’objectif de cet atelier est de doter le pays d’un plan d’accélération de la prévention pour la période de 2018 à 2019.
Le Professeur Jean de Dieu Longo a indiqué que malgré la fragilité de la République Centrafricaine en termes d’insécurité et d’instabilité politique, des efforts considérables ont été réalisés pour la couverture et l’accès au traitement d’ARV.
Il y a cependant un constat dans la progression de la nouvelle infection qui touche certaines couches de la société, notamment les jeunes, les femmes et les travailleurs du sexe. Ce plan d’accélération est une stratégie extrêmement importante basée sur la prévention combinée qui repose sur des interventions clés, a-t-il souligné.
« Dans l’espoir que les innovations viennent compléter nos efforts, la prévention combinée demeure la référence en matière de prévention du VIH en République Centrafricaine », a-t-il ajouté.
Le Directeur Pays de l’ONUSIDA, Patrick Eba, a quant à lui précisé que parler de la prévention en République Centrafricaine nécessite de localiser cette question à l’intérieur du contexte politique, social et militaire auquel est confronté le pays.
« Ces contextes contribuent à accentuer la fragilité et la vulnérabilité de certaines populations, en particulier les femmes et les jeunes filles. Il est donc temps d’agir et d’amplifier notre action sur la prévention du VIH », a-t-il ajouté.
Patrick Eba, Directeur Pays de l’ONUSIDA, a expliqué que le plan d’accélération de la prévention vise à rattraper la deuxième phase de la réponse au VIH. L’augmentation du nombre de personnes sous traitement ARV doit s’accompagner d’un nécessaire engagement et accélération au moyen de prévention.
Il a indiqué que cinq axes ont été abordés dans ce plan de prévention dont la mise en œuvre du projet envisage des actions autour de trois domaines, à savoir les interventions biomédicales, comportementales et structurelles.
Il convient de rappeler qu’après l’analyse et la validation de ce document, il va faire l’objet d’une validation au niveau politique.
Le Professeur Jean de Dieu Longo a indiqué que malgré la fragilité de la République Centrafricaine en termes d’insécurité et d’instabilité politique, des efforts considérables ont été réalisés pour la couverture et l’accès au traitement d’ARV.
Il y a cependant un constat dans la progression de la nouvelle infection qui touche certaines couches de la société, notamment les jeunes, les femmes et les travailleurs du sexe. Ce plan d’accélération est une stratégie extrêmement importante basée sur la prévention combinée qui repose sur des interventions clés, a-t-il souligné.
« Dans l’espoir que les innovations viennent compléter nos efforts, la prévention combinée demeure la référence en matière de prévention du VIH en République Centrafricaine », a-t-il ajouté.
Le Directeur Pays de l’ONUSIDA, Patrick Eba, a quant à lui précisé que parler de la prévention en République Centrafricaine nécessite de localiser cette question à l’intérieur du contexte politique, social et militaire auquel est confronté le pays.
« Ces contextes contribuent à accentuer la fragilité et la vulnérabilité de certaines populations, en particulier les femmes et les jeunes filles. Il est donc temps d’agir et d’amplifier notre action sur la prévention du VIH », a-t-il ajouté.
Patrick Eba, Directeur Pays de l’ONUSIDA, a expliqué que le plan d’accélération de la prévention vise à rattraper la deuxième phase de la réponse au VIH. L’augmentation du nombre de personnes sous traitement ARV doit s’accompagner d’un nécessaire engagement et accélération au moyen de prévention.
Il a indiqué que cinq axes ont été abordés dans ce plan de prévention dont la mise en œuvre du projet envisage des actions autour de trois domaines, à savoir les interventions biomédicales, comportementales et structurelles.
Il convient de rappeler qu’après l’analyse et la validation de ce document, il va faire l’objet d’une validation au niveau politique.