Le projet du plan d’action national s’articule autour de cinq axes à savoir (1) l’adhésion aux deux conventions internationales sur l’apatridie, (2) l’intégration des normes internationales dans la législation régissant la nationalité, (3) l’identification des causes et des personnes à risque d’apatridie, (4) le renforcement du cadre institutionnel et administratif pour assurer l’accès à la documentation d’identité juridique et enfin (5) l’établissement du mécanisme de mise en œuvre et suivi du plan d’action.
Le ministre Augustin Yangana-Yahoté a soutenu que le gouvernement centrafricain est désormais doté d’une stratégie nationale efficiente pour mener à bien sa lutte contre le phénomène qui est l’apatridie.
«Cependant, nous devons continuer avec cette ardeur pour satisfaire nos engagements y compris les deux conventions de 1954 et celle de 1961, lesquelles permettront à notre pays de traiter égal à égal avec d’autres pays et avec la communauté internationale », a souligné le membre du gouvernement.
Le représentant du HCR, Buti Kalé, a exprimé sa gratitude au gouvernement centrafricain pour sa détermination dans la réalisation des engagements internationaux dans le cadre de la campagne mondiale pour l’éradication de l’apatridie d’ici l’an 2024.
Le responsable de cette institution onusienne a exhorté le gouvernement centrafricain à diligenter l’approbation de l’adhésion aux deux conventions de 1954 et de1961 en plus la validation du plan national.
Selon lui, ces deux instruments permettront d’assurer le plaidoyer efficace pour la mobilisation des ressources auprès de la communauté internationale en faveur de la République Centrafricaine dans le cadre de sa lutte contre l’apatridie.
Il est à signaler que cet atelier de validation du plan d’action national visant à éradiquer l’apatridie en République Centrafricaine est organisé par le ministère de la Justice avec le concours financier du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés.
Le ministre Augustin Yangana-Yahoté a soutenu que le gouvernement centrafricain est désormais doté d’une stratégie nationale efficiente pour mener à bien sa lutte contre le phénomène qui est l’apatridie.
«Cependant, nous devons continuer avec cette ardeur pour satisfaire nos engagements y compris les deux conventions de 1954 et celle de 1961, lesquelles permettront à notre pays de traiter égal à égal avec d’autres pays et avec la communauté internationale », a souligné le membre du gouvernement.
Le représentant du HCR, Buti Kalé, a exprimé sa gratitude au gouvernement centrafricain pour sa détermination dans la réalisation des engagements internationaux dans le cadre de la campagne mondiale pour l’éradication de l’apatridie d’ici l’an 2024.
Le responsable de cette institution onusienne a exhorté le gouvernement centrafricain à diligenter l’approbation de l’adhésion aux deux conventions de 1954 et de1961 en plus la validation du plan national.
Selon lui, ces deux instruments permettront d’assurer le plaidoyer efficace pour la mobilisation des ressources auprès de la communauté internationale en faveur de la République Centrafricaine dans le cadre de sa lutte contre l’apatridie.
Il est à signaler que cet atelier de validation du plan d’action national visant à éradiquer l’apatridie en République Centrafricaine est organisé par le ministère de la Justice avec le concours financier du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés.