« Il y’ a une remonté de la croissance, qu’on pourra mieux faire en 2011 », a-t-il fait remarquer, en ajoutant que l’année 2009, le taux de la croissance était de 1,5 %, devant un parterre des autorités politiques, des économistes et de la société civile.
Il a expliqué qu’en 2006-2007, la République Centrafricaine avait un taux de croissance qui atteignait 4% en 2006-2007, mais malheureusement en 2008, la crise alimentaire et d’autres chocs internes et externes avaient ralenti la croissance économique.
Voilà vers la fin de 2008, a-t-il poursuivi, la République Centrafricaine est frappée par la crise financière internationale et la crise économique mondiale qui ont réduit la croissance dans ce pays.
Cependant, il a fait savoir qu’à partir de la deuxième moitié de l’année 2009, on voit un frémissement dans les secteurs de bois, de diamant qui avait été frappé par la crise, mais ce qui est sûre c’est que ça a affaibli encore une fois la position économique de ce pays.
« La force de politique économique qui est mise en œuvre par les autorités au niveau national et surtout la politique budgétaire qui est relativement expansionniste en 2010, on table sur un relèvement de croissance économique en Centrafrique », a conclu Joseph Ntamatunngiro.
Il a expliqué qu’en 2006-2007, la République Centrafricaine avait un taux de croissance qui atteignait 4% en 2006-2007, mais malheureusement en 2008, la crise alimentaire et d’autres chocs internes et externes avaient ralenti la croissance économique.
Voilà vers la fin de 2008, a-t-il poursuivi, la République Centrafricaine est frappée par la crise financière internationale et la crise économique mondiale qui ont réduit la croissance dans ce pays.
Cependant, il a fait savoir qu’à partir de la deuxième moitié de l’année 2009, on voit un frémissement dans les secteurs de bois, de diamant qui avait été frappé par la crise, mais ce qui est sûre c’est que ça a affaibli encore une fois la position économique de ce pays.
« La force de politique économique qui est mise en œuvre par les autorités au niveau national et surtout la politique budgétaire qui est relativement expansionniste en 2010, on table sur un relèvement de croissance économique en Centrafrique », a conclu Joseph Ntamatunngiro.