L’objectif de cette présentation est de sensibiliser les députés à la nécessité de s’approprier le programme de manière à soutenir son équipe de mise en oeuvre dans la recherche et la mobilisation des ressources nécessaires.
« Nous avons conçu ce projet qui est entièrement bouclé, seulement, le financement nécessite les efforts des uns et des autres, à commencer par les élus du peuple », a souligné Jean Félix Ouanfio, qui a profité de la circonstance pour suggérer aux députés de mettre en place un mécanisme législatif de levée des fonds et des matériaux auprès du gouvernement, des collectivités territoriales et des partenaires au développement au profit du programme.
Selon lui, ce programme devrait concerner toutes les localités du pays, en commençant par Bangui et sa proche banlieue où seront réalisés les projets pilotes de construction de 10.000 logements sociaux suivant la technique dite de « maison yéké-yéké selon moyens ».
Le conférencier a donc invité les députés des villes intérieures à identifier préalablement des sites pour l’extension du programme de construction des logements sociaux dans ces contrées, à raison de deux par préfectures.
Les premiers sites actuellement repérés à Bangui et à Bimbo sont ceux de Boy-Rabe, Ngaragba, Samba, Bimbo-Orchidé, Mboko et Pindao.
Il a expliqué que derrière sa contribution à la quête de logements se situent la cohésion sociale, la paix par le biais de la création d’emplois de masse en faveur des jeunes et dont les bénéficiaires seront les ménages à faibles revenus.
Depuis l’indépendance, les besoins en logements en République Centrafricaine dépassent le nombre de 1000.000, et qu’il est sur le point de faire aboutir actuellement la construction de 10.000 logements sociaux suivant sa technique de « maison yéké-yéké selon moyen ».
« Nous avons conçu ce projet qui est entièrement bouclé, seulement, le financement nécessite les efforts des uns et des autres, à commencer par les élus du peuple », a souligné Jean Félix Ouanfio, qui a profité de la circonstance pour suggérer aux députés de mettre en place un mécanisme législatif de levée des fonds et des matériaux auprès du gouvernement, des collectivités territoriales et des partenaires au développement au profit du programme.
Selon lui, ce programme devrait concerner toutes les localités du pays, en commençant par Bangui et sa proche banlieue où seront réalisés les projets pilotes de construction de 10.000 logements sociaux suivant la technique dite de « maison yéké-yéké selon moyens ».
Le conférencier a donc invité les députés des villes intérieures à identifier préalablement des sites pour l’extension du programme de construction des logements sociaux dans ces contrées, à raison de deux par préfectures.
Les premiers sites actuellement repérés à Bangui et à Bimbo sont ceux de Boy-Rabe, Ngaragba, Samba, Bimbo-Orchidé, Mboko et Pindao.
Il a expliqué que derrière sa contribution à la quête de logements se situent la cohésion sociale, la paix par le biais de la création d’emplois de masse en faveur des jeunes et dont les bénéficiaires seront les ménages à faibles revenus.
Depuis l’indépendance, les besoins en logements en République Centrafricaine dépassent le nombre de 1000.000, et qu’il est sur le point de faire aboutir actuellement la construction de 10.000 logements sociaux suivant sa technique de « maison yéké-yéké selon moyen ».