Cette rencontre du CMFN a permis aux hauts cadres des institutions financières, à savoir la Commission Bancaire de l’Afrique Centrale (COBAC) et de la Communauté Economique et Monétaire de la Afrique Centrale (CEMAC) de passer en revue l’évolution de l’environnement économique international à fin avril 2019, la conjoncture économique de la Centrafrique au cours de la même période et les perspectives économiques et financières pour le reste de l’année en cours.
Le Vice-gouverneur a rappelé que l’économie centrafricaine s’avère plutôt résiliente, malgré les tensions au niveau sécuritaire.
Selon lui, il y a des secteurs qui continuent de progresser sensiblement comme les secteurs du bâtiment et des travaux publics (BTP) et autres, et cette bonne progression va aboutir à de bons résultats d’ici la fin de l’année.
En abordant la problématique du transfert d’argent, le 2ème responsable de la BEAC a fait savoir qu’il n’y a pas de problème de devise, admettant néanmoins qu'il y a certainement problème d’assimilation des nouvelles normes et règles.
Mais depuis quelque temps son institution financière a pris des mesures d’assouplissement et d’harmonie afin que cela ne pénalise pas la croissance dans la sous-région, a-t-il souligné.
Le ministre Henri-Marie Dondra, qui présidait la réunion en présence du Directeur national de la BEAC, Ali Chaïbou. a quant à lui précisé qu’au niveau national, les dernières projections de la Banque centrale tablent sur un dynamisme des activités économiques, en relation avec la poursuite de la mise en œuvre des projets dans le cadres du plan de relèvement et de consolidation de la paix en République Centrafricaine (RCPCA).
Les dernières prévisions tablent également sur la signature de l’accord politique pour la paix et la réconciliation et l’augmentation significative du niveau de financement extérieur, a ajouté le membre du gouvernement.
Le taux de croissance de l'économie centrafricaine s'est établi à 3,8% en 2018, rappelle-t-on.
Il convient de noter que les membres du Comité Monétaire et Financier National de la République centrafricaine se réunissent tous les trimestres pour évaluer l’environnement économique de la sous- région d’Afrique centrale.
Le Vice-gouverneur a rappelé que l’économie centrafricaine s’avère plutôt résiliente, malgré les tensions au niveau sécuritaire.
Selon lui, il y a des secteurs qui continuent de progresser sensiblement comme les secteurs du bâtiment et des travaux publics (BTP) et autres, et cette bonne progression va aboutir à de bons résultats d’ici la fin de l’année.
En abordant la problématique du transfert d’argent, le 2ème responsable de la BEAC a fait savoir qu’il n’y a pas de problème de devise, admettant néanmoins qu'il y a certainement problème d’assimilation des nouvelles normes et règles.
Mais depuis quelque temps son institution financière a pris des mesures d’assouplissement et d’harmonie afin que cela ne pénalise pas la croissance dans la sous-région, a-t-il souligné.
Le ministre Henri-Marie Dondra, qui présidait la réunion en présence du Directeur national de la BEAC, Ali Chaïbou. a quant à lui précisé qu’au niveau national, les dernières projections de la Banque centrale tablent sur un dynamisme des activités économiques, en relation avec la poursuite de la mise en œuvre des projets dans le cadres du plan de relèvement et de consolidation de la paix en République Centrafricaine (RCPCA).
Les dernières prévisions tablent également sur la signature de l’accord politique pour la paix et la réconciliation et l’augmentation significative du niveau de financement extérieur, a ajouté le membre du gouvernement.
Le taux de croissance de l'économie centrafricaine s'est établi à 3,8% en 2018, rappelle-t-on.
Il convient de noter que les membres du Comité Monétaire et Financier National de la République centrafricaine se réunissent tous les trimestres pour évaluer l’environnement économique de la sous- région d’Afrique centrale.