L’objectif de cet accord est d’appuyer le gouvernement dans sa politique de lutte contre l’insécurité alimentaire et nutritionnelle. Le ministre d’Etat en charge de l’Economie et du Plan, a réitéré que la République Centrafricaine est confrontée à une crise d’insécurité alimentaire et nutritionnelle sévère, suite aux impacts de la COVID-19, doublés des effets de la crise militaro-politique.
Pour lui, l’engagement de la Banque mondiale à l’endroit de la RCA n’a pas varier, mais reste constant. Il a déclaré que ce projet six préfectures, notamment la Nana Gribizi, l’Ouham, la Ouaka, la Basse-Kotto, le Hautte Kotto et la Mambérée KadeÏ, avec une durée de 3 ans avec des résultats attendus éloquents.
Il a ajouté que selon les estimations, près de 2 millions de personnes sont en situation d’insécurité alimentaire aigüe.
Le Représentant résident de la Banque mondiale, Han Fraeters à quant à lui révélé qu’en avril 2021, environ 2,3 millions d’enfants, de femmes et d’hommes en Centrafrique, soit 47% de la population étaient en situation d’insécurité alimentaire.
Il a signalé qu’aujourd’hui en juillet 2021, trois mois plus tard, ce sont déjà plus de 2,6 millions de personnes soit 57% de la population souffrent d’insécurité alimentaire. Selon lui, grâce au projet de la réponse urgente à la crise alimentaire en Centrafrique (PRUCAC), quelques 45.000 agriculteurs seront intégrés dans des sentiers de travail contre rémunération.
« Le projet sera mis en œuvre par le ministère de l’Agriculture, en partenariat avec l’organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), et le Programme alimentaire mondial (PAM).
Rappelons que la Banque mondiale a approuvé un nouveau don de 27 milliards de F.CFA qui vise à accroitre la production alimentaire et à améliorer la résilience des petits exploitants.
Pour lui, l’engagement de la Banque mondiale à l’endroit de la RCA n’a pas varier, mais reste constant. Il a déclaré que ce projet six préfectures, notamment la Nana Gribizi, l’Ouham, la Ouaka, la Basse-Kotto, le Hautte Kotto et la Mambérée KadeÏ, avec une durée de 3 ans avec des résultats attendus éloquents.
Il a ajouté que selon les estimations, près de 2 millions de personnes sont en situation d’insécurité alimentaire aigüe.
Le Représentant résident de la Banque mondiale, Han Fraeters à quant à lui révélé qu’en avril 2021, environ 2,3 millions d’enfants, de femmes et d’hommes en Centrafrique, soit 47% de la population étaient en situation d’insécurité alimentaire.
Il a signalé qu’aujourd’hui en juillet 2021, trois mois plus tard, ce sont déjà plus de 2,6 millions de personnes soit 57% de la population souffrent d’insécurité alimentaire. Selon lui, grâce au projet de la réponse urgente à la crise alimentaire en Centrafrique (PRUCAC), quelques 45.000 agriculteurs seront intégrés dans des sentiers de travail contre rémunération.
« Le projet sera mis en œuvre par le ministère de l’Agriculture, en partenariat avec l’organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), et le Programme alimentaire mondial (PAM).
Rappelons que la Banque mondiale a approuvé un nouveau don de 27 milliards de F.CFA qui vise à accroitre la production alimentaire et à améliorer la résilience des petits exploitants.