Dans un communiqué de presse rendu public à l'issue de son assemblée générale, le Geppic exprime "sa profonde indignation" devant l'acte de Jean-Luc Blaise Diallo, journaliste au journal gouvernemental Sessé Ti Mo et collaborateur extérieur du quotidien privé L'Hirondelle, "dont le comportement jette l'opprobre sur toute la profession".
L'association a également salué "la célérité avec laquelle la direction de publication du quotidien L'Hirondelle a su rompre la collaboration avec ce reporter indélicat", ajoutant se réserver "le droit de prendre, à l'avenir, des mesures rigoureuses à l'égard d'autres confrères qui se mettraient en marge de l'éthique professionnelle".
L'incident impliquant Jean-Luc Blaise Diallo intervient au moment où l'Assemblée Nationale s'apprête à réviser la loi sur la liberté de la communication en République Centrafricaine en vue de permettre la mise en place de la Commission nationale de délivrance de la carte de presse censé rétablir l'ordre au sein de la profession.
Lors des Premiers Etats Généraux des médias centrafricains, en août 2007, l'inexistence de cette commission, pourtant prévue par loi, avait été soulignée comme source des entrées anarchiques enregistrées dans la profession.
A l'issue de ces Etats Généraux, les professionnels des médias avaient adopté une demi-douzaine de résolutions, s'engageant notamment à respecter les règles de déontologie et à se mettre en règle avec les lois en vigueur.
Il convient de préciser qu'en République Centrafricaine la loi reconnaît comme journaliste "toute personne titulaire d'un diplôme d'une grande école ou d'un établissement supérieur de journalisme qui a pour occupation principale l'exercice de sa profession et qui en tire le principal de ses ressources" ou "toute personne titulaire d'au moins une licence ou d'un diplôme équivalent, qui a pour occupation principale l'exercice pendant 3 ans au moins et qui en tire le principal de ses ressources"
L'association a également salué "la célérité avec laquelle la direction de publication du quotidien L'Hirondelle a su rompre la collaboration avec ce reporter indélicat", ajoutant se réserver "le droit de prendre, à l'avenir, des mesures rigoureuses à l'égard d'autres confrères qui se mettraient en marge de l'éthique professionnelle".
L'incident impliquant Jean-Luc Blaise Diallo intervient au moment où l'Assemblée Nationale s'apprête à réviser la loi sur la liberté de la communication en République Centrafricaine en vue de permettre la mise en place de la Commission nationale de délivrance de la carte de presse censé rétablir l'ordre au sein de la profession.
Lors des Premiers Etats Généraux des médias centrafricains, en août 2007, l'inexistence de cette commission, pourtant prévue par loi, avait été soulignée comme source des entrées anarchiques enregistrées dans la profession.
A l'issue de ces Etats Généraux, les professionnels des médias avaient adopté une demi-douzaine de résolutions, s'engageant notamment à respecter les règles de déontologie et à se mettre en règle avec les lois en vigueur.
Il convient de préciser qu'en République Centrafricaine la loi reconnaît comme journaliste "toute personne titulaire d'un diplôme d'une grande école ou d'un établissement supérieur de journalisme qui a pour occupation principale l'exercice de sa profession et qui en tire le principal de ses ressources" ou "toute personne titulaire d'au moins une licence ou d'un diplôme équivalent, qui a pour occupation principale l'exercice pendant 3 ans au moins et qui en tire le principal de ses ressources"