POLITIQUE
Le bus carbonisé, en médaillon, un des bus le jour de leur mise en service
Interrogé sur l’origine du drame, le chauffeur du bus a déclaré tout ignorer.
Un témoin a signalé une flamme sous le moteur et soupçonné un court-circuit, a indiqué ce dernier.
« C’est l’intensification de la fumée qui a poussé les membres de l’équipage du bus, le chauffeur et le receveur qui est une femme, à quitter hâtivement l’engin qui s'est consumé sous les yeux de tout le monde, sans le moindre secours », a-t-il ajouté.
L’équipe des pompiers nationaux peine à reprendre du service suite à la crise dévastatrice de décembre 2012 à 2015.
Douze bus de la société béninoise Benafrique ont été mis en circulation à la fin du mois de décembre 2016 par la mairie de Bangui pour assouplir les conditions de transport dans la capitale centrafricaine.
Lors de la conférence de presse qui précédait leur mise en circulation, le mardi 27 décembre 2016, l’administrateur général de la compagnie, Thiburce Montcho, soutenait qu’il ne pouvait pas mettre des engins neufs dans l’affaire.
Il a mis en exergue les récurrentes crises dévastatrices qui découragent les investisseurs étrangers et que lui avait pris un risque pour tester le terrain, avec des bus « dont on peut se passer de l’âge » et voir si le marché est porteur.
Au moment de la mise en service de ces bus officiellement le mercredi 28 décembre 2016, ils étaient au nombre de douze. L’opérateur a préconisé en introduire trois cent dans le circuit des transports urbains en Centrafrique.
Un témoin a signalé une flamme sous le moteur et soupçonné un court-circuit, a indiqué ce dernier.
« C’est l’intensification de la fumée qui a poussé les membres de l’équipage du bus, le chauffeur et le receveur qui est une femme, à quitter hâtivement l’engin qui s'est consumé sous les yeux de tout le monde, sans le moindre secours », a-t-il ajouté.
L’équipe des pompiers nationaux peine à reprendre du service suite à la crise dévastatrice de décembre 2012 à 2015.
Douze bus de la société béninoise Benafrique ont été mis en circulation à la fin du mois de décembre 2016 par la mairie de Bangui pour assouplir les conditions de transport dans la capitale centrafricaine.
Lors de la conférence de presse qui précédait leur mise en circulation, le mardi 27 décembre 2016, l’administrateur général de la compagnie, Thiburce Montcho, soutenait qu’il ne pouvait pas mettre des engins neufs dans l’affaire.
Il a mis en exergue les récurrentes crises dévastatrices qui découragent les investisseurs étrangers et que lui avait pris un risque pour tester le terrain, avec des bus « dont on peut se passer de l’âge » et voir si le marché est porteur.
Au moment de la mise en service de ces bus officiellement le mercredi 28 décembre 2016, ils étaient au nombre de douze. L’opérateur a préconisé en introduire trois cent dans le circuit des transports urbains en Centrafrique.
