L’objectif de ce transfèrement est de s’assurer que les détenus Sangha Jean-René, condamné à deux ans d’emprisonnement ferme et une amende de 500.000 francs CFA, Gaston Madingo et Ignace Guéma, tous deux condamnés à six mois d’emprisonnement ferme et de ne plus accéder au parc pour y commettre d’autres forfaits à la fin de leur peine, surtout que les peines sont couplées avec des peines complémentaires, à savoir : l’interdiction de séjour de dix ans dans la préfecture de la Sangha Mbaéré.
Pour le procureur du Tribunal de Grande instance de Nola, M. Anabel Toténé, qui accompagnait les condamnés, Sangha Jean-René est « un multirécidiviste, qui a été emprisonné à Nola en 2009, ensuite à Yokadouma en 2013 et enfin tout dernièrement à Bayanga ».
Quant au coordonateur du WWF-RCA, M. Jean-Bernard Yarissem, son institution a décidé de « faciliter la réinstallation, il y a de cela plus d’un mois et demi, de l’équipe judiciaire de la Sangha Mbaéré plus particulièrement à Nola en vue d’une part d’empêcher que les uns et autres fassent les choses à leur guise et d’autres part de préserver le patrimoine mondial, en particulier celui de Bayanga ».
Ces actions, a-t-il poursuivi, devraient être menées en partenariat avec les institutions de la République, notamment celle de la Justice. C’est ce rétablissement de l’administration judiciaire qui a été à l’origine de l’audience foraine à Bayanga ayant abouti à la condamnation de ces braconniers ».
Il est reproché aux condamnés le fait d’abattre des éléphants et des gorilles qui sont des espèces intégralement protégées par la loi.
L’un des braconniers-prisonniers transférés à la maison prison centrale de Ngaragba à Bangui, M. Sangha Jean-René, a reconnu les faits qui lui sont reprochés. A la lumière de ses explications, M. Sangha Jean-René qui était précédemment éco-garde est devenu braconnier à la suite d’un limogeage injustifié.
Conscient des méfaits générés par le braconnage tant sur les générations futures que sur l’économie du pays, M. Sangha Jean-René a conseillé à ses compatriotes à ne pas suivre son exemple. Il a juré qu’il s’emploiera, à la fin de sa peine, a combattre énergiquement le braconnage.
Signalons que le transfèrement des condamnés de Bayanga vers Bangui à bord d’un avion a été, une fois de plus, facilité grâce au concours de WWF-RCA.
Pour le procureur du Tribunal de Grande instance de Nola, M. Anabel Toténé, qui accompagnait les condamnés, Sangha Jean-René est « un multirécidiviste, qui a été emprisonné à Nola en 2009, ensuite à Yokadouma en 2013 et enfin tout dernièrement à Bayanga ».
Quant au coordonateur du WWF-RCA, M. Jean-Bernard Yarissem, son institution a décidé de « faciliter la réinstallation, il y a de cela plus d’un mois et demi, de l’équipe judiciaire de la Sangha Mbaéré plus particulièrement à Nola en vue d’une part d’empêcher que les uns et autres fassent les choses à leur guise et d’autres part de préserver le patrimoine mondial, en particulier celui de Bayanga ».
Ces actions, a-t-il poursuivi, devraient être menées en partenariat avec les institutions de la République, notamment celle de la Justice. C’est ce rétablissement de l’administration judiciaire qui a été à l’origine de l’audience foraine à Bayanga ayant abouti à la condamnation de ces braconniers ».
Il est reproché aux condamnés le fait d’abattre des éléphants et des gorilles qui sont des espèces intégralement protégées par la loi.
L’un des braconniers-prisonniers transférés à la maison prison centrale de Ngaragba à Bangui, M. Sangha Jean-René, a reconnu les faits qui lui sont reprochés. A la lumière de ses explications, M. Sangha Jean-René qui était précédemment éco-garde est devenu braconnier à la suite d’un limogeage injustifié.
Conscient des méfaits générés par le braconnage tant sur les générations futures que sur l’économie du pays, M. Sangha Jean-René a conseillé à ses compatriotes à ne pas suivre son exemple. Il a juré qu’il s’emploiera, à la fin de sa peine, a combattre énergiquement le braconnage.
Signalons que le transfèrement des condamnés de Bayanga vers Bangui à bord d’un avion a été, une fois de plus, facilité grâce au concours de WWF-RCA.