Dans un communiqué de presse publié jeudi soir à Bangui, le ministre de la Communication, M. Cyriaque Gonda, affirme que ces déclarations du lieutenant colonel Ndoutingaï, au sujet des contentieux mettant aux prises la République Centrafricaine et les sociétés Areva, Total et Uramin, « n’ont rien à voir avec la démarche de conciliation et de compréhension qui existe entre ces sociétés et l’Etat centrafricain ».
Le communiqué affirme par ailleurs que le gouvernement « rassure la communauté nationale et internationale, les pays amis ainsi que les sociétés concernées du ferme engagement de la RCA à voir toutes ces questions être réglées à l’amiable, dans l’intérêt de toutes les parties.
Dans une interview accordée à la radio britannique BBC, lors d’un passage à Londres, le lieutenant colonel Ndoutingaï a demandé à l’Etat français « de sortir des situations datant de 1960 qui donnent l’impression d’une colonisation du secteur économique et de donner beaucoup plus de possibilité à d’autres investisseurs de venir dans le pays afin que les activités économiques puissent permettre à l’Etat et au peuple de tirer profit de celles-ci ».
« On ne peut pas en même temps se désengager et en même temps monopoliser le secteur économique qui est créateur de richesses », a encore affirmé le ministre, qui reproche aux sociétés Areva et Uramin de n’avoir pas informé le gouvernement de l’achat par Areva de la société sud africaine Uramin Centrafrique qui devait exploiter l’uranium centrafricain.
COMMUNIQUE DE PRESSE GOUVERNEMENTAL
Le Gouvernement centrafricain, dans la journée du 12 février 2008, a entendu sur la voix des ondes de la BBC, une déclaration reprise par une radio locale privée et des journaux de la place, sur les questions importantes relatives aux divers contentieux RCA/AREVA, RCA/TOTAL et RCA/URAMINE.
Le Gouvernement centrafricain, responsable dans son entièreté de cette question d’envergure nationale, se départit totalement du contenu de ces propos qui n’ont rien à voir avec la démarche de conciliation et de compréhension qui existent entre ces sociétés et l’Etat centrafricain.
Le Gouvernement centrafricain précise donc à l’opinion nationale et internationale que ces déclarations n’engagent que son auteur, le Ministre d’Etat aux Mines, à l’Energie et à l’Hydraulique qui n’a reçu aucun mandat pour cette déclaration.
Le Gouvernement centrafricain, sous la très haute impulsion et les directives du Président de la République, Chef de l’Etat, rassure la communauté nationale et internationale, les pays amis ainsi que les sociétés concernées du ferme engagement de la RCA à voir toutes ces questions être réglées à l’amiable, dans l’intérêt de toutes les parties.
Fait à Bangui, le 14 février 2008-02-14
Pour le Gouvernement,
Le Ministre de la Coimmunication,
Du Civisme, du Dialogue et de la
Réconciliation nationale
Cyriaque Gonda
Le communiqué affirme par ailleurs que le gouvernement « rassure la communauté nationale et internationale, les pays amis ainsi que les sociétés concernées du ferme engagement de la RCA à voir toutes ces questions être réglées à l’amiable, dans l’intérêt de toutes les parties.
Dans une interview accordée à la radio britannique BBC, lors d’un passage à Londres, le lieutenant colonel Ndoutingaï a demandé à l’Etat français « de sortir des situations datant de 1960 qui donnent l’impression d’une colonisation du secteur économique et de donner beaucoup plus de possibilité à d’autres investisseurs de venir dans le pays afin que les activités économiques puissent permettre à l’Etat et au peuple de tirer profit de celles-ci ».
« On ne peut pas en même temps se désengager et en même temps monopoliser le secteur économique qui est créateur de richesses », a encore affirmé le ministre, qui reproche aux sociétés Areva et Uramin de n’avoir pas informé le gouvernement de l’achat par Areva de la société sud africaine Uramin Centrafrique qui devait exploiter l’uranium centrafricain.
COMMUNIQUE DE PRESSE GOUVERNEMENTAL
Le Gouvernement centrafricain, dans la journée du 12 février 2008, a entendu sur la voix des ondes de la BBC, une déclaration reprise par une radio locale privée et des journaux de la place, sur les questions importantes relatives aux divers contentieux RCA/AREVA, RCA/TOTAL et RCA/URAMINE.
Le Gouvernement centrafricain, responsable dans son entièreté de cette question d’envergure nationale, se départit totalement du contenu de ces propos qui n’ont rien à voir avec la démarche de conciliation et de compréhension qui existent entre ces sociétés et l’Etat centrafricain.
Le Gouvernement centrafricain précise donc à l’opinion nationale et internationale que ces déclarations n’engagent que son auteur, le Ministre d’Etat aux Mines, à l’Energie et à l’Hydraulique qui n’a reçu aucun mandat pour cette déclaration.
Le Gouvernement centrafricain, sous la très haute impulsion et les directives du Président de la République, Chef de l’Etat, rassure la communauté nationale et internationale, les pays amis ainsi que les sociétés concernées du ferme engagement de la RCA à voir toutes ces questions être réglées à l’amiable, dans l’intérêt de toutes les parties.
Fait à Bangui, le 14 février 2008-02-14
Pour le Gouvernement,
Le Ministre de la Coimmunication,
Du Civisme, du Dialogue et de la
Réconciliation nationale
Cyriaque Gonda