S’exprimant devant la Commission de Consolidation de la Paix(CPP) de l’ONU, M. loulichki a plaidé en faveur de "réponses concrètes aux besoins et priorités du peuple centrafricain, afin de l’aider à renforcer sa stabilité et à initier son relèvement économique", mettant en exergue l’importance primordiale de l’appui de la communauté internationale.
Le diplomate, qui a déploré la recrudescence des violences dans le nord de ce pays, a en outre insisté sur "la nécessité pour les groupes rebelles récalcitrants, responsables de ces violences, de rejoindre le dialogue politique inclusif et assumer le rôle qui leur revient dans la reconstruction de leur pays et dans la consolidation de la démocratie", à travers la participation aux prochaines élections législatives et présidentielles.
L’un des défis "les plus urgents" pour la consolidation de la paix dans ce pays africain, est le lancement du processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion (DDR), a-t-il dit, regrettant que ce processus reste "l’otage de la méfiance des groupes politico-militaires qui n’ont toujours pas remis les listes de leurs combattants".
L’Ambassadeur a, ainsi, émis le souhait pour que le délai du 16 mars courant soit respecté et pour que l’ensemble des parties centrafricaines participe à un dialogue politique inclusif.
A cet égard, il a jugé indispensable l’apport de la CCP et l’engagement des partenaires bilatéraux et internationaux en vue de mobiliser les ressources nécessaires pour empêcher ce pays de sombrer à nouveau dans la violence et pour favoriser son essor économique et social.
M. Loulichki a, par ailleurs, salué la décision du Secrétaire Général de l’ONU de créer un bureau intégré de l’ONU pour la consolidation de la paix en Centrafrique en vue d’instaurer une approche "plus cohérente de l’Organisation qui lierait les impératifs sécuritaires, au développement et aux droits de l’homme", rendant enfin hommage au représentant sortant des Nations Unies dans ce pays, M. François Lonsey Fall de Guinée, qui a démissionné pour s’engager dans la vie politique dans son pays.
Selon la même source, le Royaume du Maroc a plaidé fructueusement en faveur de la RCA devant la Commission de la Consolidation de la Paix (CCP) dans le contexte du projet de cadre de coopération :
- Adoption par le Conseil de Sécurité de la proposition marocaine d’introduire dans ce projet de cadre de coopération la dimension sous-régionale dans les efforts de consolidation de la paix, la conception de pôles de développement, y compris le développement de petits projets à l’impact rapide et l’identification des secteurs nationaux nécessitant l’assistance internationale, ainsi que l’inclusion dans le processus DDR de la dimension désarmement et réintégration des enfants.
Le diplomate, qui a déploré la recrudescence des violences dans le nord de ce pays, a en outre insisté sur "la nécessité pour les groupes rebelles récalcitrants, responsables de ces violences, de rejoindre le dialogue politique inclusif et assumer le rôle qui leur revient dans la reconstruction de leur pays et dans la consolidation de la démocratie", à travers la participation aux prochaines élections législatives et présidentielles.
L’un des défis "les plus urgents" pour la consolidation de la paix dans ce pays africain, est le lancement du processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion (DDR), a-t-il dit, regrettant que ce processus reste "l’otage de la méfiance des groupes politico-militaires qui n’ont toujours pas remis les listes de leurs combattants".
L’Ambassadeur a, ainsi, émis le souhait pour que le délai du 16 mars courant soit respecté et pour que l’ensemble des parties centrafricaines participe à un dialogue politique inclusif.
A cet égard, il a jugé indispensable l’apport de la CCP et l’engagement des partenaires bilatéraux et internationaux en vue de mobiliser les ressources nécessaires pour empêcher ce pays de sombrer à nouveau dans la violence et pour favoriser son essor économique et social.
M. Loulichki a, par ailleurs, salué la décision du Secrétaire Général de l’ONU de créer un bureau intégré de l’ONU pour la consolidation de la paix en Centrafrique en vue d’instaurer une approche "plus cohérente de l’Organisation qui lierait les impératifs sécuritaires, au développement et aux droits de l’homme", rendant enfin hommage au représentant sortant des Nations Unies dans ce pays, M. François Lonsey Fall de Guinée, qui a démissionné pour s’engager dans la vie politique dans son pays.
Selon la même source, le Royaume du Maroc a plaidé fructueusement en faveur de la RCA devant la Commission de la Consolidation de la Paix (CCP) dans le contexte du projet de cadre de coopération :
- Adoption par le Conseil de Sécurité de la proposition marocaine d’introduire dans ce projet de cadre de coopération la dimension sous-régionale dans les efforts de consolidation de la paix, la conception de pôles de développement, y compris le développement de petits projets à l’impact rapide et l’identification des secteurs nationaux nécessitant l’assistance internationale, ainsi que l’inclusion dans le processus DDR de la dimension désarmement et réintégration des enfants.