
« Non au Chômage, non au Société de Détection des Importations et Exportations Frauduleuses en République Centrafricaine (SODIF) », c’est ce qu’on peut lire sur la banderole des manifestants.
«Depuis un certains temps, notre Société est inquiétée de fermeture, par ce que notre direction a envoyé une lettre à l’inspection générale du travail, pour informer l’inspecteur et le ministre de tutelle, de la fermeture de cette Société et la mise en position de Chômage technique du personnel de ladite Société », a expliqué David Koyazande.
«Aujourd’hui, la société est en cours de fermeture, car, la direction ne compte pas garder le personnel inutilement pour pouvoir les payer alors qu’il n’y a plus d’activités », s’inquiète David Koyazande.
« Nous sommes là, pour demander aux autorités de voir claire dans les activités de la Société (SODIF) qui est exclusivement une « Société de destruction des industries florissantes en Centrafrique», et interpeller le responsable de ladite Société, pourquoi, bloque t-il nos activités », a-t-il ajouté.
Il a souligné que si la situation de blocage persiste, les responsables vont ramener leurs machines au Tchad ou dans l’un des pays de la CEMAC, d’où ils fabriqueront des cigarettes pour nous vendre.
Il a rappelé que la SOCACIG est une filiale du groupe impérial Tobacco qui se trouve à Hambourg en Allemagne et les bailleurs de Fonds sont en Angleterre, ces hommes d’affaires ont leurs principes. Quand leurs affaires marchent, ils peuvent rester ; quand c’est le contraire, ils quittent le pays.
En effet, la Société de Détection des Exportations et Importations Frauduleuses(SODIF), une Société installée dans les locaux de la direction Générale des impôts qui a pour mission de contrôler les importations et exportations des marchandises a demandé à la SOCACIG de verser 12 milliards de franc CFA à la direction des impôts, dont les 33% de cette somme seront versés à la Société (SODIF).
Signalons que cette situation est à l’origine de la carence de cigarette à Bangui.
«Depuis un certains temps, notre Société est inquiétée de fermeture, par ce que notre direction a envoyé une lettre à l’inspection générale du travail, pour informer l’inspecteur et le ministre de tutelle, de la fermeture de cette Société et la mise en position de Chômage technique du personnel de ladite Société », a expliqué David Koyazande.
«Aujourd’hui, la société est en cours de fermeture, car, la direction ne compte pas garder le personnel inutilement pour pouvoir les payer alors qu’il n’y a plus d’activités », s’inquiète David Koyazande.
« Nous sommes là, pour demander aux autorités de voir claire dans les activités de la Société (SODIF) qui est exclusivement une « Société de destruction des industries florissantes en Centrafrique», et interpeller le responsable de ladite Société, pourquoi, bloque t-il nos activités », a-t-il ajouté.
Il a souligné que si la situation de blocage persiste, les responsables vont ramener leurs machines au Tchad ou dans l’un des pays de la CEMAC, d’où ils fabriqueront des cigarettes pour nous vendre.
Il a rappelé que la SOCACIG est une filiale du groupe impérial Tobacco qui se trouve à Hambourg en Allemagne et les bailleurs de Fonds sont en Angleterre, ces hommes d’affaires ont leurs principes. Quand leurs affaires marchent, ils peuvent rester ; quand c’est le contraire, ils quittent le pays.
En effet, la Société de Détection des Exportations et Importations Frauduleuses(SODIF), une Société installée dans les locaux de la direction Générale des impôts qui a pour mission de contrôler les importations et exportations des marchandises a demandé à la SOCACIG de verser 12 milliards de franc CFA à la direction des impôts, dont les 33% de cette somme seront versés à la Société (SODIF).
Signalons que cette situation est à l’origine de la carence de cigarette à Bangui.