Cette déclaration fait suite aux propos malveillants qui ont été formulés contre la mission onusienne et des menaces de mort proférées à l’endroit de ses différents responsables, dont Mankeur Ndiaye, Représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies.
Par la même occasion et eu égard aux malheureux évènements survenus à la frontière centrafricano-tchadienne, la représentation nationale appelle les deux parties au calme et à la retenue et entend, le moment venu, de se rapprocher du Conseil National de Transition, afin de jouer à l’apaisement dans l’intérêt des deux peuples frères.
« La MINSCA s’est pleinement investie dans la recherche de solutions à la crise centrafricaine, principalement dans la défense des populations civiles et surtout dans la protection du processus électoral », a rappelé le Président de l’Assemblée nationale.
« C’est avec une consternation que l’Assemblée nationale, le socle de la démocratie, a noté ces dérives verbales qui prennent de plus en plus d’ampleur et qui risquent, si l’on n’y prend garde, de compromettre dangereusement les bonnes relations entre la RCA et les Nations-Unies à travers la MINUSCA », a relevé Simplice Mathieu Sarandji.
L’honorable Sarandji a fait remarquer que la liberté d’expression est garantie dans la Constitution du 30 mars 2016, loi suprême de l’Etat et unanimement adoptée par le peuple centrafricain, les injonctions de menaces diverses particulièrement de mort, ni figure nulle part.
Il sied de rappeler que la MINUSCA est en République Centrafricaine depuis 2014, à la demande des autorités du pays avec l’accord du Conseil de Sécurité, face à l’aggravation de la situation sécuritaire désastreuse que les Centrafricains ont connue et connaissent encore aujourd’hui.
Par la même occasion et eu égard aux malheureux évènements survenus à la frontière centrafricano-tchadienne, la représentation nationale appelle les deux parties au calme et à la retenue et entend, le moment venu, de se rapprocher du Conseil National de Transition, afin de jouer à l’apaisement dans l’intérêt des deux peuples frères.
« La MINSCA s’est pleinement investie dans la recherche de solutions à la crise centrafricaine, principalement dans la défense des populations civiles et surtout dans la protection du processus électoral », a rappelé le Président de l’Assemblée nationale.
« C’est avec une consternation que l’Assemblée nationale, le socle de la démocratie, a noté ces dérives verbales qui prennent de plus en plus d’ampleur et qui risquent, si l’on n’y prend garde, de compromettre dangereusement les bonnes relations entre la RCA et les Nations-Unies à travers la MINUSCA », a relevé Simplice Mathieu Sarandji.
L’honorable Sarandji a fait remarquer que la liberté d’expression est garantie dans la Constitution du 30 mars 2016, loi suprême de l’Etat et unanimement adoptée par le peuple centrafricain, les injonctions de menaces diverses particulièrement de mort, ni figure nulle part.
Il sied de rappeler que la MINUSCA est en République Centrafricaine depuis 2014, à la demande des autorités du pays avec l’accord du Conseil de Sécurité, face à l’aggravation de la situation sécuritaire désastreuse que les Centrafricains ont connue et connaissent encore aujourd’hui.