Le projet AGIR fait partie du programme de réengagement de la Banque mondiale en République Centrafricaine, en vue d’apporter une assistance technique complémentaire aux autres partenaires techniques et financiers ainsi qu’aux autres opérations de la Banque mondiale dont l’appui budgétaire, a indiqué M. Ahmadou Moustapha Ndiaye.
« Le projet AGIR confirme l’engagement de la Banque mondiale à appuyer la République Centrafricaine tel qu’annoncé à la conférence de Bruxelles ainsi que la mise en œuvre des réformes visant à améliorer la capacité de l’administration à fournir des services aux populations pour les cinq années à venir », a affirmé le Directeur des opérations de la Banque Mondiale.
M Moustapha Ndiaye a souligné que le Projet AGIR appuie la mise en œuvre du programme des réformes du Gouvernement de la République Centrafricaine dans sa phase de post transition. Son objectif est de soutenir l’amélioration de la gestion et de la transparence des dépenses publiques ainsi que des investissements publics.
Dans le cadre du second pilier intitulé « soutien de la reprise économique » qui est un appui budgétaire ayant pour objectif d’appuyer le programme de réforme en faveur des pauvres pour redynamiser les moteurs de la croissance économique dans des secteurs critiques comprenant le transport, l’agriculture, la sylviculture et les télécommunications(TIC) , a-t-il soutenu.
Selon lui, la mise en œuvre des réformes clés appuyés par le projet AGIR aura pour conséquences l’atteinte des objectifs cibles de l’opération ainsi que les objectifs que les autorités se sont fixés dans le cadre du Relèvement et de la Consolidation de la Paix en Centrafrique ( RCPCA).
De même, a-t-il poursuivi, une attention particulière est accordée à la formation des fonctionnaires impliqués dans des activités clés de gestion des finances publiques, y compris de la comptabilité, de la gestion de la trésorerie, de la budgétisation, de la passation des marchés et de la gestion des investissements publics.
Il est aussi important de signaler que l’appui du projet sera orienté vers les changements positifs au système de gestion de l’information budgétaire et comptable.
Outre la gestion des dépenses, l’opération vise aussi à renforcer la capacité globale de la gestion des investissements publics dans le cadre de la deuxième composante compte tenu des faiblesses rencontrées dans la planification des investissements et de son exécution ultérieure, le projet financera l’opérationnalisation du secrétariat de Relèvement et de la Consolidation de la Paix en Centrafrique( RCPCA).
Le ministre de l’Economie, du plan et de la Coopération Internationale, Félix Moloua, a précisé que cette visite est la phase de monitoring pour s’assurer des avancées des projets du RCPCA sur le terrain, Car, a-t-il ajouté, les échanges avec le Directeur des opérations de la Banque mondiale permettront d’aller vite à la mise en œuvre des projets sur les Fonds annoncés à Bruxelles.
Il est à noter que cette mission s’inscrit dans le cadre du suivi régulier de la mise en œuvre par tous les départements ministériels.
« Le projet AGIR confirme l’engagement de la Banque mondiale à appuyer la République Centrafricaine tel qu’annoncé à la conférence de Bruxelles ainsi que la mise en œuvre des réformes visant à améliorer la capacité de l’administration à fournir des services aux populations pour les cinq années à venir », a affirmé le Directeur des opérations de la Banque Mondiale.
M Moustapha Ndiaye a souligné que le Projet AGIR appuie la mise en œuvre du programme des réformes du Gouvernement de la République Centrafricaine dans sa phase de post transition. Son objectif est de soutenir l’amélioration de la gestion et de la transparence des dépenses publiques ainsi que des investissements publics.
Dans le cadre du second pilier intitulé « soutien de la reprise économique » qui est un appui budgétaire ayant pour objectif d’appuyer le programme de réforme en faveur des pauvres pour redynamiser les moteurs de la croissance économique dans des secteurs critiques comprenant le transport, l’agriculture, la sylviculture et les télécommunications(TIC) , a-t-il soutenu.
Selon lui, la mise en œuvre des réformes clés appuyés par le projet AGIR aura pour conséquences l’atteinte des objectifs cibles de l’opération ainsi que les objectifs que les autorités se sont fixés dans le cadre du Relèvement et de la Consolidation de la Paix en Centrafrique ( RCPCA).
De même, a-t-il poursuivi, une attention particulière est accordée à la formation des fonctionnaires impliqués dans des activités clés de gestion des finances publiques, y compris de la comptabilité, de la gestion de la trésorerie, de la budgétisation, de la passation des marchés et de la gestion des investissements publics.
Il est aussi important de signaler que l’appui du projet sera orienté vers les changements positifs au système de gestion de l’information budgétaire et comptable.
Outre la gestion des dépenses, l’opération vise aussi à renforcer la capacité globale de la gestion des investissements publics dans le cadre de la deuxième composante compte tenu des faiblesses rencontrées dans la planification des investissements et de son exécution ultérieure, le projet financera l’opérationnalisation du secrétariat de Relèvement et de la Consolidation de la Paix en Centrafrique( RCPCA).
Le ministre de l’Economie, du plan et de la Coopération Internationale, Félix Moloua, a précisé que cette visite est la phase de monitoring pour s’assurer des avancées des projets du RCPCA sur le terrain, Car, a-t-il ajouté, les échanges avec le Directeur des opérations de la Banque mondiale permettront d’aller vite à la mise en œuvre des projets sur les Fonds annoncés à Bruxelles.
Il est à noter que cette mission s’inscrit dans le cadre du suivi régulier de la mise en œuvre par tous les départements ministériels.