POLITIQUE
Le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Félix Moloua
Cette réunion a pour but de passer en revue toutes les étapes du RCPCA afin de corriger les insuffisances.
Les points inscrits à l’ordre du jour de cette réunion sont : la situation financière du RCPCA, l’opérationnalisation du secrétariat permanent, l’état des lieux de la mise en œuvre du programme, en harmonie avec les contributions annoncées par les partenaires et le plan de stabilisation de la ville de Bambari.
D’après le Ministre Félix Moloua, la question de la dette a été discutée et le budget du secrétariat transitoire du RCPCA a été révisé.
Au sujet du secrétariat permanent du RCPCA, des dossiers ont été enregistrés et sont en phase de tri. Il est prévu qu’un secrétaire permanent soit recruté ainsi que cinq experts.
La question du local devant abriter cette institution est bien avancée puisque la MINUSCA est disposée à l’aménager.
Le budget du RCPCA est évalué en fonction de ce que les partenaires ont promis et ont réellement décaissé.
Le plan de relèvement de Bambari, après discussion, reste tributaire d’un courrier adressé aux partenaires.
Les points inscrits à l’ordre du jour de cette réunion sont : la situation financière du RCPCA, l’opérationnalisation du secrétariat permanent, l’état des lieux de la mise en œuvre du programme, en harmonie avec les contributions annoncées par les partenaires et le plan de stabilisation de la ville de Bambari.
D’après le Ministre Félix Moloua, la question de la dette a été discutée et le budget du secrétariat transitoire du RCPCA a été révisé.
Au sujet du secrétariat permanent du RCPCA, des dossiers ont été enregistrés et sont en phase de tri. Il est prévu qu’un secrétaire permanent soit recruté ainsi que cinq experts.
La question du local devant abriter cette institution est bien avancée puisque la MINUSCA est disposée à l’aménager.
Le budget du RCPCA est évalué en fonction de ce que les partenaires ont promis et ont réellement décaissé.
Le plan de relèvement de Bambari, après discussion, reste tributaire d’un courrier adressé aux partenaires.
