Selon un communiqué de Royal Air Maroc rendu public dimanche, depuis l'annonce de la grève, la RAM a mobilisé les moyens humains, techniques et opérationnels en vue d'assurer l'acheminement du maximum de passagers à leur destination et d'atténuer les désagréments causés par ce mouvement.
La priorité de la compagnie a été d'assurer le transport ou trouver des solutions d'acheminement au maximum de ses passagers, ajoute le communiqué, précisant que la RAM a mobilisé "ses avions avec les équipages ne participant pas au mouvement de grève et procédé à des affrètements d'avions".
La direction de la RAM déplore ce débrayage alors même que "le président de la compagnie exhortait les représentants des pilotes à poursuivre les négociations et à reporter leur mouvement une demi-heure encore avant la cessation de travail".
La RAM regrette ce comportement, émanant de membres d'une corporation privilégiée, et considère qu'il est de nature "à rendre les négociations ultérieures encore plus difficiles", indique la même source.
La compagnie souligne d'autant plus "l'aspect négatif de cette grève qu'il a été constaté que la majorité des pilotes RAM détachés à Atlas Balue ont refusé d'assurer leurs vols au profit de cette compagnie".
Il s'agit, poursuit le communiqué, "d'un précédent grave, accompli en contradiction frontale par rapport à la politique du groupe RAM visant à assurer une évolution positive de carrière des pilotes au sein des filiales du groupe". "Cet objectif, lié à la politique de marocanisation des postes de commandants de bord, est irréalisable s'il conduit à exporter dans toutes les filiales du groupe les tensions internes à la RAM.
La priorité de la compagnie a été d'assurer le transport ou trouver des solutions d'acheminement au maximum de ses passagers, ajoute le communiqué, précisant que la RAM a mobilisé "ses avions avec les équipages ne participant pas au mouvement de grève et procédé à des affrètements d'avions".
La direction de la RAM déplore ce débrayage alors même que "le président de la compagnie exhortait les représentants des pilotes à poursuivre les négociations et à reporter leur mouvement une demi-heure encore avant la cessation de travail".
La RAM regrette ce comportement, émanant de membres d'une corporation privilégiée, et considère qu'il est de nature "à rendre les négociations ultérieures encore plus difficiles", indique la même source.
La compagnie souligne d'autant plus "l'aspect négatif de cette grève qu'il a été constaté que la majorité des pilotes RAM détachés à Atlas Balue ont refusé d'assurer leurs vols au profit de cette compagnie".
Il s'agit, poursuit le communiqué, "d'un précédent grave, accompli en contradiction frontale par rapport à la politique du groupe RAM visant à assurer une évolution positive de carrière des pilotes au sein des filiales du groupe". "Cet objectif, lié à la politique de marocanisation des postes de commandants de bord, est irréalisable s'il conduit à exporter dans toutes les filiales du groupe les tensions internes à la RAM.