La pomme de discorde concerne notamment le devenir du Haut Conseil d'Etat (HCE) que l'opposition veut voir dissoute avant la présidentielle du 18 juillet alors que le camp présidentiel estime que la structure a perdu son caractère politique après la démission du général Mohamed Ould Abdelaziz.
Le président déchu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi exige, avant sa démission volontaire, que la junte, mécanisme qui l'a évincé le 6 août dernier, soit dissoute.
Face à cette situation, l'opposition mauritanienne (Front national pour la défense de la démocratie-FNDD et RFD- Rassemblement des forces démocratiques) a rendu public samedi une déclaration appelant "au sens patriotique de chaque Mauritanien soucieux de préserver les intérêts et la stabilité du pays afin qu'il s'emploie, de toute son énergie, à sauver cet accord réalisé par les parties sur la base du principe +ni vainqueur, ni vaincu+, et qui constitue par-dessus tout une victoire pour le peuple mauritanien tout entier".
Le camp du général Mohamed Ould Abdel Aziz a finalement décidé de participer à une réunion prévue dimanche à Dakar.
Dans la rue, les Mauritaniens s'inquiètent de ce blocage qui affecte la vie politique et le fonctionnement de l'administration, blocage pour lequel les deux parties se rejettent la responsabilité.
L'accord de Dakar prévoit la formation d'un gouvernement d'union nationale, la démission volontaire du président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi et la recomposition de la Commission électorale nationale indépendante.
Le président déchu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi exige, avant sa démission volontaire, que la junte, mécanisme qui l'a évincé le 6 août dernier, soit dissoute.
Face à cette situation, l'opposition mauritanienne (Front national pour la défense de la démocratie-FNDD et RFD- Rassemblement des forces démocratiques) a rendu public samedi une déclaration appelant "au sens patriotique de chaque Mauritanien soucieux de préserver les intérêts et la stabilité du pays afin qu'il s'emploie, de toute son énergie, à sauver cet accord réalisé par les parties sur la base du principe +ni vainqueur, ni vaincu+, et qui constitue par-dessus tout une victoire pour le peuple mauritanien tout entier".
Le camp du général Mohamed Ould Abdel Aziz a finalement décidé de participer à une réunion prévue dimanche à Dakar.
Dans la rue, les Mauritaniens s'inquiètent de ce blocage qui affecte la vie politique et le fonctionnement de l'administration, blocage pour lequel les deux parties se rejettent la responsabilité.
L'accord de Dakar prévoit la formation d'un gouvernement d'union nationale, la démission volontaire du président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi et la recomposition de la Commission électorale nationale indépendante.