Cette déclaration a été faite lors de la conférence de presse qu’il a dirigée et dont l’objectif était de rétablir la vérité conformément aux allégations de certaines presses relatives aux retombées de la Table ronde de Bruxelles. « Plus de 10.000 milliards francs CFA ont été annoncés par les partenaires », a fait savoir le Premier Ministre.
« La Table ronde de Bruxelles n’a pas été un fiasco », a clamé Faustin Archange Touadéra.
En effet, pendant que toute la délégation centrafricaine et celle des partenaires étaient à Bruxelles, la presse privée indépendante centrafricaine diffusait tous les jours des informations selon lesquelles « Bruxelles a été une humiliation », a indiqué le Chef du gouvernement.
S’agissant du contexte de cette Table ronde, Faustin Archange Touadéra a signalé que Bruxelles est la conséquence « du plaidoyer fait par le Président de la République François Bozizé en marge de la 5ème Session des Nations Unies à New York de septembre 2010 sur les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) consacrée à la République Centrafricaine.
Dès que l’appel a été lancé, a précisé le Premier ministre, « les partenaires ont été très sensibles ». « Quelques 211 participants représentants 80 pays et organisations ont effectué le déplacement de Bruxelles. De nouveaux partenaires se sont mêmes joints aux partenaires traditionnelles pour soutenir la République Centrafricaine ».
Pour conclure, Faustin Archange Touadéra a révélé qu’à Bruxelles, « la République Centrafricaine a reçu le ferme engagement des partenaires visant à la soutenir pour atteindre les objectifs que le gouvernement s’est fixé, notamment à améliorer les secteurs productifs ».
« Le gouvernement n’est pas allé à Bruxelles pour chercher de l’argent comptant », a reconnu le Ministre du Développement du Monde rural, Fidèle Gouandjika.
Il s’agit de trouver des partenaires et de nouveaux partenaires devant accompagner le gouvernement dans les différentes actions concernant le développement de la République Centrafricaine, peut-on comprendre à travers les propos du Premier ministre.
Une chose est sûre : « le Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté, deuxième génération (DSRP II) n’est pas à elle seule la solution par excellence aux problèmes de développement de la République Centrafricaine » selon les propos du Ministre d’Etat au Plan, Sylvain Maliko. Le gouvernement a également des engagements, le développement de la République Centrafricaine dépend par ailleurs d’une contrepartie nationale, a-t-il conclu.
« La Table ronde de Bruxelles n’a pas été un fiasco », a clamé Faustin Archange Touadéra.
En effet, pendant que toute la délégation centrafricaine et celle des partenaires étaient à Bruxelles, la presse privée indépendante centrafricaine diffusait tous les jours des informations selon lesquelles « Bruxelles a été une humiliation », a indiqué le Chef du gouvernement.
S’agissant du contexte de cette Table ronde, Faustin Archange Touadéra a signalé que Bruxelles est la conséquence « du plaidoyer fait par le Président de la République François Bozizé en marge de la 5ème Session des Nations Unies à New York de septembre 2010 sur les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) consacrée à la République Centrafricaine.
Dès que l’appel a été lancé, a précisé le Premier ministre, « les partenaires ont été très sensibles ». « Quelques 211 participants représentants 80 pays et organisations ont effectué le déplacement de Bruxelles. De nouveaux partenaires se sont mêmes joints aux partenaires traditionnelles pour soutenir la République Centrafricaine ».
Pour conclure, Faustin Archange Touadéra a révélé qu’à Bruxelles, « la République Centrafricaine a reçu le ferme engagement des partenaires visant à la soutenir pour atteindre les objectifs que le gouvernement s’est fixé, notamment à améliorer les secteurs productifs ».
« Le gouvernement n’est pas allé à Bruxelles pour chercher de l’argent comptant », a reconnu le Ministre du Développement du Monde rural, Fidèle Gouandjika.
Il s’agit de trouver des partenaires et de nouveaux partenaires devant accompagner le gouvernement dans les différentes actions concernant le développement de la République Centrafricaine, peut-on comprendre à travers les propos du Premier ministre.
Une chose est sûre : « le Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté, deuxième génération (DSRP II) n’est pas à elle seule la solution par excellence aux problèmes de développement de la République Centrafricaine » selon les propos du Ministre d’Etat au Plan, Sylvain Maliko. Le gouvernement a également des engagements, le développement de la République Centrafricaine dépend par ailleurs d’une contrepartie nationale, a-t-il conclu.