Cette déclaration a été faite jeudi 29 avril 2010, lors de la rencontre du chef, Président de la République, François Bozizé avec les acteurs politiques centrafricains impliqués au processus électoral en présence des Représentants de la communauté internationale à Bangui.
Eu égard à l’état d’avancement des travaux de la CEI relatifs aux élections de 2010, le président François Bozizé a instruit l’Assemblée Nationale de manière Constitutionnelle de réfléchir sur la question et faire des propositions justes et adaptées.
Le Président François Bozizé, a réitéré qu’il est le garant de la Constitution, de la paix et de la sécurité dans le pays.
La représentante du Bureau Intégré de l’Organisation des Nations-Unies, Mme Sahle Work Zewdé, a affirmé qu’il y a eu beaucoup d’insuffisances enregistrés au niveau de la CEI qui a retardé considérablement tout le processus.
Elle a réaffirmé que nous avons été guidé par le principe de respect des institutions de la république et de faire en sorte que ces élections ne soient pas une occasion pour un retour en arrière, pour une remise en cause des acquis du dialogue Politique Inclusif et des accords globaux de paix.
« Pour mieux les élections sont une étape dans un long processus démocratique et qu’il ne devrait pas mettre en péril la stabilité et la légitimité », a-t-elle fait remarquer.
Le Rapport du processus électoral en République centrafricaine, indique que la CEI se trouve dans l’obligation de reconnaître qu’elle ne pourra plus techniquement respecter le chronogramme préétabli
Eu égard à l’état d’avancement des travaux de la CEI relatifs aux élections de 2010, le président François Bozizé a instruit l’Assemblée Nationale de manière Constitutionnelle de réfléchir sur la question et faire des propositions justes et adaptées.
Le Président François Bozizé, a réitéré qu’il est le garant de la Constitution, de la paix et de la sécurité dans le pays.
La représentante du Bureau Intégré de l’Organisation des Nations-Unies, Mme Sahle Work Zewdé, a affirmé qu’il y a eu beaucoup d’insuffisances enregistrés au niveau de la CEI qui a retardé considérablement tout le processus.
Elle a réaffirmé que nous avons été guidé par le principe de respect des institutions de la république et de faire en sorte que ces élections ne soient pas une occasion pour un retour en arrière, pour une remise en cause des acquis du dialogue Politique Inclusif et des accords globaux de paix.
« Pour mieux les élections sont une étape dans un long processus démocratique et qu’il ne devrait pas mettre en péril la stabilité et la légitimité », a-t-elle fait remarquer.
Le Rapport du processus électoral en République centrafricaine, indique que la CEI se trouve dans l’obligation de reconnaître qu’elle ne pourra plus techniquement respecter le chronogramme préétabli
La Commission Electorale Indépendante (CEI) a invité les acteurs politiques et les autorités nationales à lui faire des propositions justes, réalistes et adaptées au contexte centrafricain afin de lui permettre d’établir un nouveau chronogramme sans délai.
Pour le Collectif des forces du changement, Me Nicolas Tiangaye, a affirmé : « nous prenons l’engagement devant la nation, la Communauté Internationale et devant l’histoire de ne pas contester la légitimité du Président de la République, jusqu’à la tenue des élections ».
« En ce qui concerne les autres aspects, il appartiendra au Médiateur de la république de réunir toutes les forces politiques et sociales du pays pour aborder la solution des autres problèmes inhérents à ce report », a-t-il conclu
Pour le Collectif des forces du changement, Me Nicolas Tiangaye, a affirmé : « nous prenons l’engagement devant la nation, la Communauté Internationale et devant l’histoire de ne pas contester la légitimité du Président de la République, jusqu’à la tenue des élections ».
« En ce qui concerne les autres aspects, il appartiendra au Médiateur de la république de réunir toutes les forces politiques et sociales du pays pour aborder la solution des autres problèmes inhérents à ce report », a-t-il conclu