POLITIQUE
François Bozizé, entouré de journalistes, lors d'une interview au salon des ambassadeurs du palais présidentiel (photo Kobadobo/ACAP)
Répondant à des doléances formulées par les représentants des organisations organisations professionnelles et des médias publics, François Bozizé s'est dit disposé à soutenir la presse, pourvu que celle-ci aide également les pouvoirs publics.
"C'est le reflet de notre situation économique qui se résume dans vos doléances", a-t-il expliqué, invitant les professionnels des médias à ne pas nier que le pays sort d'une situation difficile et que "c'est le travail de tous les citoyens qui fait la prospérité d'un pays".
Il a également exhorté les journalistes centrafricains à être fiers d'eux-mêmes et à faire eux-mêmes la promotion de leur métier, à l'exemple du Bénin où la démocratie a été construite par la presse.
« le jour où vous ferez votre travail de manière équilibrée, en respectant la déontologie du journalisme, vous verrez que ce sont les gens qui viendront vers vous pour vous dire faites ceci, faites cela et aidez moi ! », a déclaré François Bozizé.
« On peut vous donner tous les moyens, mais si vous êtes mauvais en vous-mêmes, cesz moyens ne serviront à rien », a-t-il ajouté.
Il convient de rappeler que lors de cette rencontre, à laquelle assistait le Premier Ministre, Faustin Touadéra, le président du Groupement des Editeurs de la Presse Privé Indépendante de Centrafrique (GEPPIC), M. Michel Alkhaly Ngaddy notamment sollicité la mise en place par décret d’une commission d’attribution de la subvention de l’Etat à la presse privée.
La Présidente de l’Association des Femmes Professionnelles de la Communication, Mme Sylvie Panika, a déploré le faible effectif des femmes exerçant dans la presse centrafricaine, à savoir 40 dont cinq seulement ont suivi une formation.
Elle a par conséquent demandé l’application du quota de 30% de femmes dans tous les secteurs, conformément aux prescriptions des Nations Unies.
S'exprimant au nom des médias publics, le directeur de la radio nationale, David Gbanga, a réclamer des moyens conséquents pour permettre de rétablir l'équilibre face à la floraison des titres de la presse indépendante.
Il convient de rappeler qu'en dehors de la rencontre avec le président Bozizé, les professionnels de la presse ont pris part, au palais de la Cemac à Bangui, à un débat organisé par l'Association des femmes professionnelles de la communication (Afpc) et au cours duquel un documentaire consacré à la marginalisation des femmes dans la presse a été projeté.
"C'est le reflet de notre situation économique qui se résume dans vos doléances", a-t-il expliqué, invitant les professionnels des médias à ne pas nier que le pays sort d'une situation difficile et que "c'est le travail de tous les citoyens qui fait la prospérité d'un pays".
Il a également exhorté les journalistes centrafricains à être fiers d'eux-mêmes et à faire eux-mêmes la promotion de leur métier, à l'exemple du Bénin où la démocratie a été construite par la presse.
« le jour où vous ferez votre travail de manière équilibrée, en respectant la déontologie du journalisme, vous verrez que ce sont les gens qui viendront vers vous pour vous dire faites ceci, faites cela et aidez moi ! », a déclaré François Bozizé.
« On peut vous donner tous les moyens, mais si vous êtes mauvais en vous-mêmes, cesz moyens ne serviront à rien », a-t-il ajouté.
Il convient de rappeler que lors de cette rencontre, à laquelle assistait le Premier Ministre, Faustin Touadéra, le président du Groupement des Editeurs de la Presse Privé Indépendante de Centrafrique (GEPPIC), M. Michel Alkhaly Ngaddy notamment sollicité la mise en place par décret d’une commission d’attribution de la subvention de l’Etat à la presse privée.
La Présidente de l’Association des Femmes Professionnelles de la Communication, Mme Sylvie Panika, a déploré le faible effectif des femmes exerçant dans la presse centrafricaine, à savoir 40 dont cinq seulement ont suivi une formation.
Elle a par conséquent demandé l’application du quota de 30% de femmes dans tous les secteurs, conformément aux prescriptions des Nations Unies.
S'exprimant au nom des médias publics, le directeur de la radio nationale, David Gbanga, a réclamer des moyens conséquents pour permettre de rétablir l'équilibre face à la floraison des titres de la presse indépendante.
Il convient de rappeler qu'en dehors de la rencontre avec le président Bozizé, les professionnels de la presse ont pris part, au palais de la Cemac à Bangui, à un débat organisé par l'Association des femmes professionnelles de la communication (Afpc) et au cours duquel un documentaire consacré à la marginalisation des femmes dans la presse a été projeté.
