Un heureux récipiendaire
Après la prestation du serment d’hypocrate par les lauréats, le Doyen de la Faculté des Sciences de la Santé, le Professeur Gérard Grézenget, a précisé que cinq promotions de docteurs en médecine sont sorties en moins de trois (3) ans.
Cela donne 40% des 319 médecins formés à la faculté des Sciences de la Santé au cours de ses trente années d’existence.
M. Grézenguet a également annoncé que le Département de l’Enseignement post-universitaire et du 3ème cycle de la FACSS étudie les possibilités d’ouverture de quelques certificats d’études spéciales (CES) dont les modalités s’harmoniseront avec les communautés universitaires internationales.
Dans le cadre de la coopération avec la France, a-t-il poursuivi, la FACSS sera en mesure d’assurer, dès la rentrée prochaine, la formation de médecins biologistes, par la création du CES de Biologie médicale.
Pour sa part, le Président général du jury, le Professeur Michel Dumas de l’Université de Limoges, en France, a axé son témoignage sur le développement de la recherche.
Selon lui, « on ne travaille plus comme chercheur dans un coin tout seul, c’est absolument faux ! On ne peut faire la recherche maintenant que si on travaille en groupe, en réseau local et régional, afin que les bailleurs de fonds apportent des financements pour permettre le plein développement de cette recherche. »
Le Recteur de l’université de Bangui, M. Faustin Touadéra, a souligné que son institution doit s’impliquer davantage dans le processus du développement en tenant compte des grands défis de l’heure tels que la mondialisation, le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (Nepad) Car, a-t-il ajouté, « nombreux sont nos concitoyens qui ont une perception négative de cette institution. »
« Or, l’Université constitue la locomotive qui entraîne tous les autres acteurs, ainsi que la société toute entière à contribuer de façon active et significative à la recherche de solutions au problèmes de la nation centrafricaine », a conclu M. Touadéra.
La cérémonie de jeudi intervient au terme de 48 heures de soutenances sous la direction d’un jury international.
Suite aux conflits armés des dix dernières qui ont perturbé le déroulement des activités académiques, la FACSS a dû organiser en 2005 une première vague de soutenances pour les ressortissants des 18ème et 19ème promotions.
Cela donne 40% des 319 médecins formés à la faculté des Sciences de la Santé au cours de ses trente années d’existence.
M. Grézenguet a également annoncé que le Département de l’Enseignement post-universitaire et du 3ème cycle de la FACSS étudie les possibilités d’ouverture de quelques certificats d’études spéciales (CES) dont les modalités s’harmoniseront avec les communautés universitaires internationales.
Dans le cadre de la coopération avec la France, a-t-il poursuivi, la FACSS sera en mesure d’assurer, dès la rentrée prochaine, la formation de médecins biologistes, par la création du CES de Biologie médicale.
Pour sa part, le Président général du jury, le Professeur Michel Dumas de l’Université de Limoges, en France, a axé son témoignage sur le développement de la recherche.
Selon lui, « on ne travaille plus comme chercheur dans un coin tout seul, c’est absolument faux ! On ne peut faire la recherche maintenant que si on travaille en groupe, en réseau local et régional, afin que les bailleurs de fonds apportent des financements pour permettre le plein développement de cette recherche. »
Le Recteur de l’université de Bangui, M. Faustin Touadéra, a souligné que son institution doit s’impliquer davantage dans le processus du développement en tenant compte des grands défis de l’heure tels que la mondialisation, le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (Nepad) Car, a-t-il ajouté, « nombreux sont nos concitoyens qui ont une perception négative de cette institution. »
« Or, l’Université constitue la locomotive qui entraîne tous les autres acteurs, ainsi que la société toute entière à contribuer de façon active et significative à la recherche de solutions au problèmes de la nation centrafricaine », a conclu M. Touadéra.
La cérémonie de jeudi intervient au terme de 48 heures de soutenances sous la direction d’un jury international.
Suite aux conflits armés des dix dernières qui ont perturbé le déroulement des activités académiques, la FACSS a dû organiser en 2005 une première vague de soutenances pour les ressortissants des 18ème et 19ème promotions.