" Light sweet crude" pour livraison en septembre a enregistré une baisse de 75 cents pour se situer à 114,45 dollars américains le baril sur New York Mercantile Exchange.
Les livraisons à terme ont connu une hausse au cours du week- end suite au conflit entre la Russie et la Géorige en Ossétie du Sud, lequel a suscité des préoccupations quant à l'éventuelle destruction des oléoducs dans la région. Les prix se sont élevés à 116,90 dollars le baril lors des transactions de lundi matin.
Mais la tendance s'est renversée après une proposition de cessez-le-feu et grâce à d'autres facteurs, les prix sont tombés à 112,72 dollars le baril.
Lundi, le dollar a gagné du terrain contre l'euro et la livre sterling, alors que les investisseurs ont porté leur attention sur un rapport selon lequel les importations du pétrole brut par la Chine auraient diminué de 7% pour arriver à 13,79 millions de tonnes en juillet, contre 14,83 millions de tonnes il y a un an.
Par ailleurs, le média officiel de l'Iran a cité le négociateur en chef du pays sur le dossier nucléaire, qui a convenu de tenir une nouvelle série de négociations avec l'Union européenne sur le programme nucléaire de Téhéran, ce qui a contribué à soulager des pressions sur le pétrole brut.
A Londres, le pétrole Brent pour livraison en septembre a reculé de 66 cents pour s'établir à 112,67 dollars le baril sur the ICE Futures Exchange.
Les livraisons à terme ont connu une hausse au cours du week- end suite au conflit entre la Russie et la Géorige en Ossétie du Sud, lequel a suscité des préoccupations quant à l'éventuelle destruction des oléoducs dans la région. Les prix se sont élevés à 116,90 dollars le baril lors des transactions de lundi matin.
Mais la tendance s'est renversée après une proposition de cessez-le-feu et grâce à d'autres facteurs, les prix sont tombés à 112,72 dollars le baril.
Lundi, le dollar a gagné du terrain contre l'euro et la livre sterling, alors que les investisseurs ont porté leur attention sur un rapport selon lequel les importations du pétrole brut par la Chine auraient diminué de 7% pour arriver à 13,79 millions de tonnes en juillet, contre 14,83 millions de tonnes il y a un an.
Par ailleurs, le média officiel de l'Iran a cité le négociateur en chef du pays sur le dossier nucléaire, qui a convenu de tenir une nouvelle série de négociations avec l'Union européenne sur le programme nucléaire de Téhéran, ce qui a contribué à soulager des pressions sur le pétrole brut.
A Londres, le pétrole Brent pour livraison en septembre a reculé de 66 cents pour s'établir à 112,67 dollars le baril sur the ICE Futures Exchange.