« C’est une première victoire pour toi, peuple centrafricain, sur l’impunité », a-t-il déclaré, souhaitant que la procédure se poursuive dans la transparence jusqu’à son terme.
M. Malyombo a également réaffirmé « la détermination du gouvernement de tout mettre en œuvre pour combattre l’impunité sous toutes ses formes dans notre pays et de coopérer pleinement avec la CPI pour l’aboutissement total du dossier des crimes commis par les Banyamulengués de Jean-Pierre Bemba sur notre territoire afin que plus jamais ça en RCA ».
Interrogé sur l’impact que la procédure de la CPI pourrait avoir sur la loi d’amnistie en faveur des rebelles et le Dialogue politique Inclusif en perspective, il a indiqué que « le Dialogue va se tenir, mais il n’empêchera pas la justice de faire son travail ».
Sur l’éventualité de l’implication du président François Bozizé, à la tête de la rébellion au moment des faits, il a fait observer que « c’est le chef de l’Etat lui-même qui avait autorisé le transfert du dossier à la CPI » et qu’il s’expliquera, s’il est impliqué car « le président aussi est un justiciable comme tous les autres ».
Les déclarations de M. Maleyombo interviennent 48 heures après l’arrestation de M. Jean-Pierre Bemba, poursuivi par la CPI pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis par les troupes du Mouvement de libération du Congo (MLC) envoyées entre octobre 2002 et mars 2003 en Centrafrique pour appuyer l’armée centrafricaine à la peine face aux rebelles du général François Bozizé, l’actuel président.
Il convient de rappeler que Bangui avait saisi la CPI le 22 décembre 2004, lorsque la justice centrafricaine s’était déclarée incompétente pour juger l’affaire des exactions commises par les éléments du MLC.
M. Malyombo a également réaffirmé « la détermination du gouvernement de tout mettre en œuvre pour combattre l’impunité sous toutes ses formes dans notre pays et de coopérer pleinement avec la CPI pour l’aboutissement total du dossier des crimes commis par les Banyamulengués de Jean-Pierre Bemba sur notre territoire afin que plus jamais ça en RCA ».
Interrogé sur l’impact que la procédure de la CPI pourrait avoir sur la loi d’amnistie en faveur des rebelles et le Dialogue politique Inclusif en perspective, il a indiqué que « le Dialogue va se tenir, mais il n’empêchera pas la justice de faire son travail ».
Sur l’éventualité de l’implication du président François Bozizé, à la tête de la rébellion au moment des faits, il a fait observer que « c’est le chef de l’Etat lui-même qui avait autorisé le transfert du dossier à la CPI » et qu’il s’expliquera, s’il est impliqué car « le président aussi est un justiciable comme tous les autres ».
Les déclarations de M. Maleyombo interviennent 48 heures après l’arrestation de M. Jean-Pierre Bemba, poursuivi par la CPI pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis par les troupes du Mouvement de libération du Congo (MLC) envoyées entre octobre 2002 et mars 2003 en Centrafrique pour appuyer l’armée centrafricaine à la peine face aux rebelles du général François Bozizé, l’actuel président.
Il convient de rappeler que Bangui avait saisi la CPI le 22 décembre 2004, lorsque la justice centrafricaine s’était déclarée incompétente pour juger l’affaire des exactions commises par les éléments du MLC.