POLITIQUE
Centrafrique/politique :
Dans un communiqué diffusé jeudi soir à la radio nationale, M. Zingas a souligné que « la décision rendue par la cour Criminelle n’est pas remise en cause et sera appliquée au moment opportun sans préjudice aucun pour quiconque ».
Le gouvernement « doit jouer le rôle primordial qui lui est dévolu de protection » de tous les citoyens, a encore déclaré le porte-parole du gouvernement, pour qui « ni les autorités de la République Centrafricaine, ni les citoyens centrafricains ne remettent en cause le statut d’Etat de droit du pays ».
La réaction du porte-parole du gouvernement intervient alors que plusieurs voix s’élèvent pour réclamer l’application de la décision d’acquittement rendue par la cour criminelle dans le dossier de Moise Mamadou Raikina, ancien député du Mouvement de libération du peuple centrafricain (Mlpc), poursuivi pour rébellion, complot, association de malfaiteurs.
Le 19 septembre dernier, cinq organisations des droits de l’homme ont publié une déclaration réclamant « la libération immédiate et sans condition » des personnes acquittées par la cour criminelle.
Depuis lundi 18 septembre, les avocats ont suspendu toutes leurs activités après avoir remis mardi, un mémorandum au ministre de la justice au sujet de leurs clients acquittés mais conduits à une « destination jusqu’ici inconnue ».
Dans un communiqué diffusé jeudi soir à la radio nationale, M. Zingas a souligné que « la décision rendue par la cour Criminelle n’est pas remise en cause et sera appliquée au moment opportun sans préjudice aucun pour quiconque ».
Le gouvernement « doit jouer le rôle primordial qui lui est dévolu de protection » de tous les citoyens, a encore déclaré le porte-parole du gouvernement, pour qui « ni les autorités de la République Centrafricaine, ni les citoyens centrafricains ne remettent en cause le statut d’Etat de droit du pays ».
La réaction du porte-parole du gouvernement intervient alors que plusieurs voix s’élèvent pour réclamer l’application de la décision d’acquittement rendue par la cour criminelle dans le dossier de Moise Mamadou Raikina, ancien député du Mouvement de libération du peuple centrafricain (Mlpc), poursuivi pour rébellion, complot, association de malfaiteurs.
Le 19 septembre dernier, cinq organisations des droits de l’homme ont publié une déclaration réclamant « la libération immédiate et sans condition » des personnes acquittées par la cour criminelle.
Depuis lundi 18 septembre, les avocats ont suspendu toutes leurs activités après avoir remis mardi, un mémorandum au ministre de la justice au sujet de leurs clients acquittés mais conduits à une « destination jusqu’ici inconnue ».
