Les enjeux des élections présidentielle et législatives du 28 novembre et la violence qui les caractérise sur toute l'étendue de la RDC, et particulièrement à Kinshasa, seraient à la base de cette situation.
Différemment des années antérieures, où la fête de Noël se caractérisait par une ambiance festive, les avenues et certaines places publiques n'ont été embellies nidécorées cette année pour donner une certaine ambiance de fête. Les cris de joie en signe de réjouissance n' étaient pas perceptibles. Les églises, surtout celles dites de réveil, ont toutefois fait le plein où des personnes ont imploré Dieu pour que la paix s'instaure en RDC.
Les explosions des pétards n'étaient pas entendues, bien que le gouverneur de la ville ne les ait pas interdits.
"Avec deux mois d'arriérés des salaires pour la plupart des agents et fonctionnaires de l'Etat, constituant la majorité des travailleurs à Kinshasa, il est difficile d'organiser le divertissement ou de divertir les enfants, ou encore de leur faire des cadeaux ou de leur offrir un repas copieux", se plaignent des parents.
Un SOS avait était lancé par les syndicats des agents et fonctionnaires de l'Etat, demandant au gouvernement d'apurer les arriérés des salaires et de tenir à sa promesse de payer les salaires des agents le 20 de chaque mois.
La fête de Noël a coïncidé cette année en RDC au scrutin présidentiel et législatif. Depuis le début du processus électoral, l'opposition n'a cessé de manifester dans les rues de Kinshasa et dans certains chefs-lieux des provinces.
Des affrontements ont opposé les partisans de la majorité présidentielle à ceux de l'opposition, particulièrement de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), notamment à Kinshasa, Lubumbashi et Goma provoquant mort d'hommes.
La victoire de Joseph Kabila sur Etienne Tshisekedi est contestée par des partis de l'opposition.
Kabila a prêté serment le 20 décembre à Kinshasa devant la Cour suprême de justice (CSJ), alors que Tshisekedi, "président" autoproclamé, a fait de même chez lui le 23 décembre, date à laquelle des affrontements entre la police et les partisans de Tshisekedi autour du Stade des Martyrs à Kinshasa, où Tshisekedi voulait prêter serment, auraient fait un mort.
C'est sur le fond de ce climat tendu que la population congolaise, surtout les Kinois, passent la fête de Noël, dans la prudence et dans l'inquiétude.
Différemment des années antérieures, où la fête de Noël se caractérisait par une ambiance festive, les avenues et certaines places publiques n'ont été embellies nidécorées cette année pour donner une certaine ambiance de fête. Les cris de joie en signe de réjouissance n' étaient pas perceptibles. Les églises, surtout celles dites de réveil, ont toutefois fait le plein où des personnes ont imploré Dieu pour que la paix s'instaure en RDC.
Les explosions des pétards n'étaient pas entendues, bien que le gouverneur de la ville ne les ait pas interdits.
"Avec deux mois d'arriérés des salaires pour la plupart des agents et fonctionnaires de l'Etat, constituant la majorité des travailleurs à Kinshasa, il est difficile d'organiser le divertissement ou de divertir les enfants, ou encore de leur faire des cadeaux ou de leur offrir un repas copieux", se plaignent des parents.
Un SOS avait était lancé par les syndicats des agents et fonctionnaires de l'Etat, demandant au gouvernement d'apurer les arriérés des salaires et de tenir à sa promesse de payer les salaires des agents le 20 de chaque mois.
La fête de Noël a coïncidé cette année en RDC au scrutin présidentiel et législatif. Depuis le début du processus électoral, l'opposition n'a cessé de manifester dans les rues de Kinshasa et dans certains chefs-lieux des provinces.
Des affrontements ont opposé les partisans de la majorité présidentielle à ceux de l'opposition, particulièrement de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), notamment à Kinshasa, Lubumbashi et Goma provoquant mort d'hommes.
La victoire de Joseph Kabila sur Etienne Tshisekedi est contestée par des partis de l'opposition.
Kabila a prêté serment le 20 décembre à Kinshasa devant la Cour suprême de justice (CSJ), alors que Tshisekedi, "président" autoproclamé, a fait de même chez lui le 23 décembre, date à laquelle des affrontements entre la police et les partisans de Tshisekedi autour du Stade des Martyrs à Kinshasa, où Tshisekedi voulait prêter serment, auraient fait un mort.
C'est sur le fond de ce climat tendu que la population congolaise, surtout les Kinois, passent la fête de Noël, dans la prudence et dans l'inquiétude.