M. Abdalla Kadre, qui était assisté de l’économiste principal du Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud) en République Centrafricaine, M. Gilbert Aho, a expliqué que l’objectif de cette opération est d’obtenir un inventaire exhaustif des unités économiques en exercice en RCA.
Cela permettra d’avoir un répertoire ou une sorte de « guichet unique des entreprises opérant en Centrafrique », lequel sera actualisé chaque année, en vue de permettre aux investisseurs étrangers d’avoir, depuis leur pays, des données sur les entreprises présentes en Centrafrique et leurs différents services.
Selon lui, le recensement envisagé par le gouvernement est capital pour la promotion du secteur privé en Centrafrique car, comme dans tous les pays du monde, « le secteur privé constitue le moteur de la croissance économique » et demande à être redynamisé.
Il a indiqué que l’opération vise trois variables, à savoir l’identification des entreprises, la capacité des ces entreprises dans le domaine de l’emploi et enfin leurs besoins en formation en vue d’un appui du gouvernement.
Par ailleurs, a-t-il précisé, le recensement va permettre de maîtriser les entreprises informelles car les nombreuses crises militaro politiques qu’a connues le pays ont eu une répercussion importante sur la démographie des entreprises existant en Centrafrique, de sorte que la plupart sont passées du formel à l’informel.
Pour lui, ce recensement va engendrer l’encadrement des entreprises en vue de les rendre compétitives au niveau international, « et cela passe nécessairement par la restructuration de la chambre de commerce ».
Compte tenu de son importance, le recensement va couvrir l’ensemble du pays grâce aux cent agents recenseurs qui seront recrutés pour la circonstance et se déroulera du 22 novembre 2007 au 6 décembre 2008.
Cela permettra d’avoir un répertoire ou une sorte de « guichet unique des entreprises opérant en Centrafrique », lequel sera actualisé chaque année, en vue de permettre aux investisseurs étrangers d’avoir, depuis leur pays, des données sur les entreprises présentes en Centrafrique et leurs différents services.
Selon lui, le recensement envisagé par le gouvernement est capital pour la promotion du secteur privé en Centrafrique car, comme dans tous les pays du monde, « le secteur privé constitue le moteur de la croissance économique » et demande à être redynamisé.
Il a indiqué que l’opération vise trois variables, à savoir l’identification des entreprises, la capacité des ces entreprises dans le domaine de l’emploi et enfin leurs besoins en formation en vue d’un appui du gouvernement.
Par ailleurs, a-t-il précisé, le recensement va permettre de maîtriser les entreprises informelles car les nombreuses crises militaro politiques qu’a connues le pays ont eu une répercussion importante sur la démographie des entreprises existant en Centrafrique, de sorte que la plupart sont passées du formel à l’informel.
Pour lui, ce recensement va engendrer l’encadrement des entreprises en vue de les rendre compétitives au niveau international, « et cela passe nécessairement par la restructuration de la chambre de commerce ».
Compte tenu de son importance, le recensement va couvrir l’ensemble du pays grâce aux cent agents recenseurs qui seront recrutés pour la circonstance et se déroulera du 22 novembre 2007 au 6 décembre 2008.