L’objectif de cette rencontre est de réfléchir sur la feuille de route et voir comment travailler en synergie pour mobiliser des ressources nécessaires, afin d’améliorer les conditions de travail au niveau du secteur privé et au niveau de l’emploi.
La ministre du Commerce et de l’Industrie a confirmé que cette réunion d’échanges après le lancement du projet, va permettre aux experts des départements sectoriels concernés de préparer une feuille de route, afin que le fonds mobilisé soit bien utilisé dans l’intérêt des populations qui sont les groupes cibles.
Selon Mme. Mboua, le gouvernement va avoir une proposition de feuille de route pour pouvoir travailler en synergie et susciter la mobilisation des ressources en faveur des opérateurs économiques et surtout du secteur privé et du secteur informel.
« Pour le secteur formel les choses sont bien avancées avec son collègue des Petites et Moyennes Entreprises qui s’est battu avec le gouvernement pour obtenir un financement au niveau de la Banque mondiale, afin que le secteur informel soit bien encadré et puisse se transformer en secteur formel », a souligné la cheffe du département du Commerce et de l’Industrie.
Le membre du gouvernement a relevé qu’il est donc important que les commerçants soient en mesure, ceux qui sont en dessous des affaires puissent remonter leurs chiffres d’affaires, afin de faire face à la compétition au niveau régional et voire même au niveau mondial.
Il convient de rappeler que le Premier ministre et le Représentant résident de la Banque mondiale ont signé dernièrement un accord de financement pour soutenir le secteur privé dans la compétitivité au niveau commercial.
La ministre du Commerce et de l’Industrie a confirmé que cette réunion d’échanges après le lancement du projet, va permettre aux experts des départements sectoriels concernés de préparer une feuille de route, afin que le fonds mobilisé soit bien utilisé dans l’intérêt des populations qui sont les groupes cibles.
Selon Mme. Mboua, le gouvernement va avoir une proposition de feuille de route pour pouvoir travailler en synergie et susciter la mobilisation des ressources en faveur des opérateurs économiques et surtout du secteur privé et du secteur informel.
« Pour le secteur formel les choses sont bien avancées avec son collègue des Petites et Moyennes Entreprises qui s’est battu avec le gouvernement pour obtenir un financement au niveau de la Banque mondiale, afin que le secteur informel soit bien encadré et puisse se transformer en secteur formel », a souligné la cheffe du département du Commerce et de l’Industrie.
Le membre du gouvernement a relevé qu’il est donc important que les commerçants soient en mesure, ceux qui sont en dessous des affaires puissent remonter leurs chiffres d’affaires, afin de faire face à la compétition au niveau régional et voire même au niveau mondial.
Il convient de rappeler que le Premier ministre et le Représentant résident de la Banque mondiale ont signé dernièrement un accord de financement pour soutenir le secteur privé dans la compétitivité au niveau commercial.