Organisé par le gouvernement centrafricain en partenariat avec le cabinet du SEMICA, le SEMICA-Centrafrique vise à promouvoir les ressources et potentialités des différentes délégations africaines et celles de la Centrafrique dans les domaines des mines, des carrières et du pétrole.
Pendant deux jours, les investisseurs nationaux et internationaux seront édifiés sur les potentialités minières et pétrolières africaines, sur l’état de la recherche géologique, minière et pétrolière, sur l’opportunité d’investissement dans les secteurs miniers et pétroliers et sur le cadre juridique et règlementaire applicable dans lesdits secteurs.
Le chef du gouvernement Firmin Ngrébada a demandé au ministre centrafricain des Mines et ses experts de tirer tous les profits nécessaires des échanges qui se dérouleront avec les autres experts internationaux, en vue de mener à bien les réformes qui s’imposent dans les secteurs miniers pour les rendre plus dynamiques.
Le premier ministre a fait savoir que « l’investissement dans la recherche minière et dans la recherche pétrolière est très capital et comporte bien des risques », pour ce faire, et selon lui, le gouvernement s’est engagé à réviser les cadres juridiques d’intervention des investisseurs dans lesdits secteurs afin d’ouvrir les conditions d’un meilleur partenariat gagnant-gagnant.
Par ailleurs, Firmin Ngrébada a instruit son ministre des Mines de proposer dans le meilleur délai, des stratégies pertinentes adaptées aux défis et qui permettront d’avoir une chaine de valeur autour des activités d’exportation de ces ressources.
Il a encouragé les acteurs desdits secteurs à s’organiser davantage et le gouvernement s’engage à appuyer tous les efforts et initiatives pour l’essor de ces secteurs dans la contribution de l’économie nationale.
Le premier ministre Ngrébada a rappelé que le plan minier national élaboré en 1995 avec le concours de la Banque mondiale, a identifié et localisé plus de 400 indices minéraux.
« Dotée de ce riche patrimoine minéral, la République Centrafricaine cherche à attirer des investisseurs sérieux pouvant lui permettre d’assurer la mise en valeur de ses ressources », a soutenu le Chef du gouvernement.
Il faut signaler que le SEMICA est créé il y a dix ans ; c’est un cabinet africain de droit burkinabé, spécialisé dans l’organisation des grands évènements majeurs, dans les secteurs des mines, des carrières, des hydrocarbures et de l’énergie.
Pendant deux jours, les investisseurs nationaux et internationaux seront édifiés sur les potentialités minières et pétrolières africaines, sur l’état de la recherche géologique, minière et pétrolière, sur l’opportunité d’investissement dans les secteurs miniers et pétroliers et sur le cadre juridique et règlementaire applicable dans lesdits secteurs.
Le chef du gouvernement Firmin Ngrébada a demandé au ministre centrafricain des Mines et ses experts de tirer tous les profits nécessaires des échanges qui se dérouleront avec les autres experts internationaux, en vue de mener à bien les réformes qui s’imposent dans les secteurs miniers pour les rendre plus dynamiques.
Le premier ministre a fait savoir que « l’investissement dans la recherche minière et dans la recherche pétrolière est très capital et comporte bien des risques », pour ce faire, et selon lui, le gouvernement s’est engagé à réviser les cadres juridiques d’intervention des investisseurs dans lesdits secteurs afin d’ouvrir les conditions d’un meilleur partenariat gagnant-gagnant.
Par ailleurs, Firmin Ngrébada a instruit son ministre des Mines de proposer dans le meilleur délai, des stratégies pertinentes adaptées aux défis et qui permettront d’avoir une chaine de valeur autour des activités d’exportation de ces ressources.
Il a encouragé les acteurs desdits secteurs à s’organiser davantage et le gouvernement s’engage à appuyer tous les efforts et initiatives pour l’essor de ces secteurs dans la contribution de l’économie nationale.
Le premier ministre Ngrébada a rappelé que le plan minier national élaboré en 1995 avec le concours de la Banque mondiale, a identifié et localisé plus de 400 indices minéraux.
« Dotée de ce riche patrimoine minéral, la République Centrafricaine cherche à attirer des investisseurs sérieux pouvant lui permettre d’assurer la mise en valeur de ses ressources », a soutenu le Chef du gouvernement.
Il faut signaler que le SEMICA est créé il y a dix ans ; c’est un cabinet africain de droit burkinabé, spécialisé dans l’organisation des grands évènements majeurs, dans les secteurs des mines, des carrières, des hydrocarbures et de l’énergie.