L’objectif de cette table ronde, dont le thème central est : ‘les enjeux économiques du manioc et les perspectives de la deuxième édition du forum sur le manioc à Bangui en décembre 2018’ est de sensibiliser l’opinion sur l’importance de l’évènement afin de mieux le préparer.
Sylvestre Krock a rappelé que depuis le forum de Yaoundé, au Cameroun en 2016, forum au cours duquel la République Centrafricaine était pourtant représentée et que le manioc n’avait pas été présenté seulement comme un aliment mais une source économique, à ce jour, plus personne n’a soulevé la question.
Les personnalités qu’il a interpellées sont : les autorités nationales, les ONG impliquées et les partenaires tels que l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO).
Dans ses propos, le Coordonnateur Sylvestre Krock a même fait remarquer qu’au forum de Yaoundé sur le manioc, le stand de la République Centrafricaine, pourtant pays producteur et grand consommateur de manioc, était presque dépourvu. Il n’y avait, selon lui, que la gari, le bâton de manioc ou ‘mangbélé’ dans la langue nationale, l’alcool de traite fabriqué à base du manioc, etc.
A l’inverse de ce qui est apparaissait dans le stand de la République Centrafricaine, il a signalé que les dérivés du manioc sont désormais très sollicités dans la production de l’amidon, pour la fabrication des vêtements, le lait, le cube magie, et pourquoi pas le carburant et bien d’autres produits manufacturés.
Sylvestre Krock dit craindre le peut d’intérêt des acteurs, producteurs, consommateurs, commerçants, chercheurs, etc. pour cet évènement, alors que, d’après lui, il peut se développer autour du manioc plusieurs valeurs, même celles de la cohésion sociale, de la réconciliation et de la relance économique.
Sylvestre Krock a rappelé que depuis le forum de Yaoundé, au Cameroun en 2016, forum au cours duquel la République Centrafricaine était pourtant représentée et que le manioc n’avait pas été présenté seulement comme un aliment mais une source économique, à ce jour, plus personne n’a soulevé la question.
Les personnalités qu’il a interpellées sont : les autorités nationales, les ONG impliquées et les partenaires tels que l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO).
Dans ses propos, le Coordonnateur Sylvestre Krock a même fait remarquer qu’au forum de Yaoundé sur le manioc, le stand de la République Centrafricaine, pourtant pays producteur et grand consommateur de manioc, était presque dépourvu. Il n’y avait, selon lui, que la gari, le bâton de manioc ou ‘mangbélé’ dans la langue nationale, l’alcool de traite fabriqué à base du manioc, etc.
A l’inverse de ce qui est apparaissait dans le stand de la République Centrafricaine, il a signalé que les dérivés du manioc sont désormais très sollicités dans la production de l’amidon, pour la fabrication des vêtements, le lait, le cube magie, et pourquoi pas le carburant et bien d’autres produits manufacturés.
Sylvestre Krock dit craindre le peut d’intérêt des acteurs, producteurs, consommateurs, commerçants, chercheurs, etc. pour cet évènement, alors que, d’après lui, il peut se développer autour du manioc plusieurs valeurs, même celles de la cohésion sociale, de la réconciliation et de la relance économique.