POLITIQUE
Photo de famille des habitants de Yamalé, après la séance d'information
L’objectif de cette mise au point est de justifier la mise en place des Comités Locaux de Paix et de Réconciliation Nationale qui sont une réponse pérenne au renforcement de la paix et à la résolution des conflits, grâce à la culture de la non-violence.
La Directrice Lydie-Solange Yahoumbi a annoncé sept postes qui seront pourvus le moment venu et qui comprendront une coordination générale, un secrétariat, un chargé des finances et de la logistique, un chargé de la communication et de la mobilisation, une représentante des femmes, un représentant des jeunes et un notable ou un représentant des autorités traditionnelles ou coutumières.
Elle a précisé que les conditions d’éligibilité des membres du CLPRN comprennent, entre autres, la résidence, l’appartenance à une organisation de la société civile, la probité morale, la disponibilité et le sens du bénévolat, l’exclusion de toutes considérations ethnique, régionale, confessionnelle ou basée sur le genre.
L’élection des membres de ce comité, pour un mandat de deux ans, a-t-elle poursuivi, s’effectuera de manière démocratique et transparente, suivant la modalité du vote par bulletin secret.
Il ne faut pas perdre de vue que ce comité peut bénéficier des appuis techniques et financiers de l’Etat, des collectivités locales, des institutions et organisations tant nationales qu’internationales.
Lydie-Solange Yahoumbi a conclu que, au-delà des huit arrondissements de la ville de Bangui et des communes de Bimbo et Bégoua qui sont dans les préfectures pilotes dudit programme de mise en place des Comités Locaux de Paix et de Réconciliation Nationale, presque toutes les préfectures sont concernées. Seulement, la zone conforme du sud-ouest, notamment les localités de Balégo, Bania, Yamalé, Nandobo, Ouapo et Nassolé, est parue urgente, selon ses dires.
Soulignons que le programme de mise en place des Comités Locaux de Paix et de Réconciliation Nationale est une initiative du Ministère des Affaires sociales et de Réconciliation nationale, appuyée par le Droit de Propriété et de Développement de Diamant Artisanal, phase II (DPDDA-II).
Le projet DPDDA II est un mécanisme d’assistance technique des Etats-Unis aux pays producteurs de diamant en vue d’empêcher que des diamants de conflits s’infiltrent dans la chaîne légale d’approvisionnement mondial, conformément au processus de Kimberley.
Dans le cas spécifique de la République Centrafricaine, le projet DPDDA y a posé les pieds, durant sa première phase, entre 2007 et 2013. Après la première phase, le projet a été relancé en janvier 2016.
La mission conjointe, Ministère des Affaires Sociales et de la Réconciliation nationale et Ministère des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique, démarrée à cet effet le 22 juillet, prendra fin le 3 août 2017.
La Directrice Lydie-Solange Yahoumbi a annoncé sept postes qui seront pourvus le moment venu et qui comprendront une coordination générale, un secrétariat, un chargé des finances et de la logistique, un chargé de la communication et de la mobilisation, une représentante des femmes, un représentant des jeunes et un notable ou un représentant des autorités traditionnelles ou coutumières.
Elle a précisé que les conditions d’éligibilité des membres du CLPRN comprennent, entre autres, la résidence, l’appartenance à une organisation de la société civile, la probité morale, la disponibilité et le sens du bénévolat, l’exclusion de toutes considérations ethnique, régionale, confessionnelle ou basée sur le genre.
L’élection des membres de ce comité, pour un mandat de deux ans, a-t-elle poursuivi, s’effectuera de manière démocratique et transparente, suivant la modalité du vote par bulletin secret.
Il ne faut pas perdre de vue que ce comité peut bénéficier des appuis techniques et financiers de l’Etat, des collectivités locales, des institutions et organisations tant nationales qu’internationales.
Lydie-Solange Yahoumbi a conclu que, au-delà des huit arrondissements de la ville de Bangui et des communes de Bimbo et Bégoua qui sont dans les préfectures pilotes dudit programme de mise en place des Comités Locaux de Paix et de Réconciliation Nationale, presque toutes les préfectures sont concernées. Seulement, la zone conforme du sud-ouest, notamment les localités de Balégo, Bania, Yamalé, Nandobo, Ouapo et Nassolé, est parue urgente, selon ses dires.
Soulignons que le programme de mise en place des Comités Locaux de Paix et de Réconciliation Nationale est une initiative du Ministère des Affaires sociales et de Réconciliation nationale, appuyée par le Droit de Propriété et de Développement de Diamant Artisanal, phase II (DPDDA-II).
Le projet DPDDA II est un mécanisme d’assistance technique des Etats-Unis aux pays producteurs de diamant en vue d’empêcher que des diamants de conflits s’infiltrent dans la chaîne légale d’approvisionnement mondial, conformément au processus de Kimberley.
Dans le cas spécifique de la République Centrafricaine, le projet DPDDA y a posé les pieds, durant sa première phase, entre 2007 et 2013. Après la première phase, le projet a été relancé en janvier 2016.
La mission conjointe, Ministère des Affaires Sociales et de la Réconciliation nationale et Ministère des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique, démarrée à cet effet le 22 juillet, prendra fin le 3 août 2017.
