Le Coordonnateur national, Ferréol Kombo, a indiqué que la campagne qui se déroule du 25 novembre au 10 décembre vise à sensibiliser les femmes leaders et les représentants des organisations de la société civile sur les violences sexuelles basées le genre (VSBG).
Le magistrat Jocelyn Ngoumbango s’est appesanti sur le cadre légal et la prévention des VSBG en République Centrafricaine, tout en développant la question des violences sexuelles et sexistes, physiques et morales perpétrées sur les femmes et les filles.
« Le sexe est devenu une arme de guerre, c’est pour cette raison que le viol a été considéré comme étant un crime de guerre », a-t-il précisé.
Il a invité les organisations de la société civile et les associations à relayer les informations au niveau de la population pour que ce phénomène soit pris en compte, rappelant que "cette campagne vise à amener la population et les victimes à comprendre qu’elles sont des victimes et non des bourreaux, elles ont intérêt à dénoncer les faits dont elles sont victimes".
Il a par ailleurs appelé le gouvernement à mettre en place des structures adéquates pour prendre en charge les victimes afin de lutter efficacement contre les VSBG.
Il convient de rappeler que le comité national est multidimensionnel et regroupe les départements ministériels, la société civile, la plateforme religieuse dont le but est de prévenir et de réprimer les graves violations des droits de l’homme.
Le magistrat Jocelyn Ngoumbango s’est appesanti sur le cadre légal et la prévention des VSBG en République Centrafricaine, tout en développant la question des violences sexuelles et sexistes, physiques et morales perpétrées sur les femmes et les filles.
« Le sexe est devenu une arme de guerre, c’est pour cette raison que le viol a été considéré comme étant un crime de guerre », a-t-il précisé.
Il a invité les organisations de la société civile et les associations à relayer les informations au niveau de la population pour que ce phénomène soit pris en compte, rappelant que "cette campagne vise à amener la population et les victimes à comprendre qu’elles sont des victimes et non des bourreaux, elles ont intérêt à dénoncer les faits dont elles sont victimes".
Il a par ailleurs appelé le gouvernement à mettre en place des structures adéquates pour prendre en charge les victimes afin de lutter efficacement contre les VSBG.
Il convient de rappeler que le comité national est multidimensionnel et regroupe les départements ministériels, la société civile, la plateforme religieuse dont le but est de prévenir et de réprimer les graves violations des droits de l’homme.