M. Guterres s’exprimait au cours d’une conférence de presse, lundi 8 mars 2010 à Bangui, au terme d’une visite dans les préfectures de l’Ouham-Pendé, de la Nana Gribizi et de la Haute Kotto.
Il a indiqué qu’il y a environ quatre vingt mille Centrafricains au Cameroun et soixante mille autres au Tchad, précisant que « les réfugiés centrafricains et leurs hôtes sont également confrontés à des problèmes et ils mettent en exergue l’insuffisance des points de distributions d’eau potable et des salles de classe ainsi que l’éloignement des centres de santé ».
« C’est très important de créer les conditions pour qu’ils puissent rentrer en sécurité dans leurs régions d’origine et j’espère que des négociations tripartites puissent s’entamer entre les gouvernements de Centrafrique, pays d’accueil, et le Haut Commissariat pour les Réfugiés afin de préparer dans le futur un retour volontaire en dignité et en sécurité pour ces populations », a-t-il suggéré.
M. Guterres a lancé un appel à la communauté internationale, pour le fait que la Centrafrique n’a jamais refusé sa solidarité vis-à-vis des réfugiés de la région, il faut que la communauté internationale ne refuse pas sa solidarité au peuple centrafricain.
« Cette générosité est un symbole dans le monde d’aujourd’hui où quelques fois des pays, y compris des pays riches, ne sont pas capables de répondre aux besoins des réfugiés et permettent dans quelques situations l’expression de sentiments de xénophobie, de racisme des étrangers qui sont véritablement regrettables », a-t-il fait remarquer.
« J’espère que cet esprit d’accueil et de solidarité de la Centrafrique puisse être copié dans beaucoup d’autres endroits dans le monde », a-t-il souhaité.
« Je sortirai de Centrafrique avec un enthousiasme accru dans l’exercice de mes fonctions parce que j’ai vu un peuple qui mérite toute notre solidarité », a conclu M. Guterres.
Il a indiqué qu’il y a environ quatre vingt mille Centrafricains au Cameroun et soixante mille autres au Tchad, précisant que « les réfugiés centrafricains et leurs hôtes sont également confrontés à des problèmes et ils mettent en exergue l’insuffisance des points de distributions d’eau potable et des salles de classe ainsi que l’éloignement des centres de santé ».
« C’est très important de créer les conditions pour qu’ils puissent rentrer en sécurité dans leurs régions d’origine et j’espère que des négociations tripartites puissent s’entamer entre les gouvernements de Centrafrique, pays d’accueil, et le Haut Commissariat pour les Réfugiés afin de préparer dans le futur un retour volontaire en dignité et en sécurité pour ces populations », a-t-il suggéré.
M. Guterres a lancé un appel à la communauté internationale, pour le fait que la Centrafrique n’a jamais refusé sa solidarité vis-à-vis des réfugiés de la région, il faut que la communauté internationale ne refuse pas sa solidarité au peuple centrafricain.
« Cette générosité est un symbole dans le monde d’aujourd’hui où quelques fois des pays, y compris des pays riches, ne sont pas capables de répondre aux besoins des réfugiés et permettent dans quelques situations l’expression de sentiments de xénophobie, de racisme des étrangers qui sont véritablement regrettables », a-t-il fait remarquer.
« J’espère que cet esprit d’accueil et de solidarité de la Centrafrique puisse être copié dans beaucoup d’autres endroits dans le monde », a-t-il souhaité.
« Je sortirai de Centrafrique avec un enthousiasme accru dans l’exercice de mes fonctions parce que j’ai vu un peuple qui mérite toute notre solidarité », a conclu M. Guterres.