L’objectif de ce forum est de présenter aux investisseurs internationaux les opportunités d’affaires en République Centrafricaine en partenariat avec le secteur privé.
En présence des présidents des institutions républicaines, des représentants des institutions financières internationales et de certains membres du gouvernement, Faustin-Archange Touadéra a expliqué que l’ambition de son gouvernement est de développer une économie compétitive en vue d’assurer l’éclosion et le développement d’entreprises viables, créatrices d’emplois durables et de richesses.
Il a émis le vœu de voir s’installer des entreprises mettant en valeur de façon non artisanale les richesses minérales, procédant même sur place à leur transformation pour les besoins de l'économie nationale et de l’emploi des jeunes.
Abordant le secteur agricole, le Chef de l’Etat a fait savoir que son objectif est d’atteindre l’autosuffisance alimentaire après cette longue période crise.
« Nous avons un grand besoin de modernisation de notre secteur agricole par une mécanisation progressive et une transformation des produits locaux », a-t-il poursuivi.
Il a par ailleurs évoqué le domaine financier qui est un secteur vital pour l’économie et présentant des opportunités pour la création de banques commerciales et d’établissements d’assurance, y compris les domaines du tourisme, de l’hôtellerie et des téléphonies mobiles.
De son côté, la Représentante régionale d’Afrique centrale de la Société Financière Internationale (SFI),Mehita Fanny Sylla, a indiqué que la République Centrafricaine est un pays prioritaire pour la SFI en ce sens que la vocation de son institution est de stimuler la promotion d’un secteur privé résilient et dynamique dans les pays en développement.
« La SFI est disposée à travailler avec les autres partenaires techniques et financiers de la Centrafrique afin de créer un environnement propice à l’investissement privé et ainsi asseoir les fondements de la croissance et de l’émergence de l’économie centrafricaine », a-t-elle réaffirmé.
Il convient de rappeler que le Forum des investisseurs se tient un an après la table-ronde des bailleurs de fonds qui avait permis au gouvernement de la République Centrafricaine de mobiliser des promesses financements à hauteur de 2,2 milliards de dollars en faveur du plan de relèvement et de consolidation de la paix, qui tient lieu de feuille de route pour les autorités du pays.
En présence des présidents des institutions républicaines, des représentants des institutions financières internationales et de certains membres du gouvernement, Faustin-Archange Touadéra a expliqué que l’ambition de son gouvernement est de développer une économie compétitive en vue d’assurer l’éclosion et le développement d’entreprises viables, créatrices d’emplois durables et de richesses.
Il a émis le vœu de voir s’installer des entreprises mettant en valeur de façon non artisanale les richesses minérales, procédant même sur place à leur transformation pour les besoins de l'économie nationale et de l’emploi des jeunes.
Abordant le secteur agricole, le Chef de l’Etat a fait savoir que son objectif est d’atteindre l’autosuffisance alimentaire après cette longue période crise.
« Nous avons un grand besoin de modernisation de notre secteur agricole par une mécanisation progressive et une transformation des produits locaux », a-t-il poursuivi.
Il a par ailleurs évoqué le domaine financier qui est un secteur vital pour l’économie et présentant des opportunités pour la création de banques commerciales et d’établissements d’assurance, y compris les domaines du tourisme, de l’hôtellerie et des téléphonies mobiles.
De son côté, la Représentante régionale d’Afrique centrale de la Société Financière Internationale (SFI),Mehita Fanny Sylla, a indiqué que la République Centrafricaine est un pays prioritaire pour la SFI en ce sens que la vocation de son institution est de stimuler la promotion d’un secteur privé résilient et dynamique dans les pays en développement.
« La SFI est disposée à travailler avec les autres partenaires techniques et financiers de la Centrafrique afin de créer un environnement propice à l’investissement privé et ainsi asseoir les fondements de la croissance et de l’émergence de l’économie centrafricaine », a-t-elle réaffirmé.
Il convient de rappeler que le Forum des investisseurs se tient un an après la table-ronde des bailleurs de fonds qui avait permis au gouvernement de la République Centrafricaine de mobiliser des promesses financements à hauteur de 2,2 milliards de dollars en faveur du plan de relèvement et de consolidation de la paix, qui tient lieu de feuille de route pour les autorités du pays.