POLITIQUE
Organisé par le Bureau de l’UNESCO de Yaoundé en collaboration avec le ministère de l’Education Nationale avec l’appui financier du Fonds italien, cet atelier vise à redéfinir et à mettre en œuvre la politique nationale d’alphabétisation par le biais de plusieurs activités de renforcement des capacités pédagogiques et institutionnelles.
L’objectif ultime étant de prévenir et de rompre le cycle de la sous alphabétisation et de faire en sorte que le monde entier maîtrise la lecture et l’écriture afin d’atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement(OMD) ainsi que les activités lancées dans le cadre de l’initiative LIFE.
Le ministre de l’Education Nationale Ambroise Zawa a déclaré qu’ « en dépit des multiples efforts, la question de l’analphabétisme dans notre pays demeure très préoccupante ».
« Car les statistiques nous révèlent que les services éducatifs n’atteignent pas tous les enfants en âge d’être scolarisés, d’où un fort taux d’analphabétisme environ 67% dont plus de 75% chez les femmes ; et cette situation est plus accentuée dans certaines zones rurales »a-t-il justifié.
« La cérémonie qui nous réunit aujourd’hui, a indiqué le ministre Ambroise Zawa, revêt une signification particulière parce qu’elle traduit encore une fois la volonté de l’UNESCO d’accompagner le gouvernement centrafricain dans ses efforts de lutte contre l’analphabétisme et donc contre la pauvreté et le sous développement ».
Le Directeur du Bureau UNESCO de Yaoundé, M. Benoit Sossou, a déclaré que « le présent atelier répond aux recommandations du Cadre de Belèm « Exploiter le pouvoir et le potentiel de l’apprentissage et de l’éducation des adultes pour un avenir viable ».
« L’élaboration des politiques et plan d’action d’alphabétisation et de l’éducation non formelle ne concernent pas seulement les acteurs de l’éducation, mais aussi les autres départements ministériels et administrations publiques, les structures décentralisées, les partenaires du secteur privé et les organisations de la société civile », a conclu M. Benoit Soussou.
Il est à préciser que l’élaboration du plan national de Développement de l’Alphabétisation et de l’Education non Formelle vise à réduire l’alphabétisme à 50% d’ici l’an 2015.
L’objectif ultime étant de prévenir et de rompre le cycle de la sous alphabétisation et de faire en sorte que le monde entier maîtrise la lecture et l’écriture afin d’atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement(OMD) ainsi que les activités lancées dans le cadre de l’initiative LIFE.
Le ministre de l’Education Nationale Ambroise Zawa a déclaré qu’ « en dépit des multiples efforts, la question de l’analphabétisme dans notre pays demeure très préoccupante ».
« Car les statistiques nous révèlent que les services éducatifs n’atteignent pas tous les enfants en âge d’être scolarisés, d’où un fort taux d’analphabétisme environ 67% dont plus de 75% chez les femmes ; et cette situation est plus accentuée dans certaines zones rurales »a-t-il justifié.
« La cérémonie qui nous réunit aujourd’hui, a indiqué le ministre Ambroise Zawa, revêt une signification particulière parce qu’elle traduit encore une fois la volonté de l’UNESCO d’accompagner le gouvernement centrafricain dans ses efforts de lutte contre l’analphabétisme et donc contre la pauvreté et le sous développement ».
Le Directeur du Bureau UNESCO de Yaoundé, M. Benoit Sossou, a déclaré que « le présent atelier répond aux recommandations du Cadre de Belèm « Exploiter le pouvoir et le potentiel de l’apprentissage et de l’éducation des adultes pour un avenir viable ».
« L’élaboration des politiques et plan d’action d’alphabétisation et de l’éducation non formelle ne concernent pas seulement les acteurs de l’éducation, mais aussi les autres départements ministériels et administrations publiques, les structures décentralisées, les partenaires du secteur privé et les organisations de la société civile », a conclu M. Benoit Soussou.
Il est à préciser que l’élaboration du plan national de Développement de l’Alphabétisation et de l’Education non Formelle vise à réduire l’alphabétisme à 50% d’ici l’an 2015.
