L’objectif de cet atelier est de sensibiliser les acteurs nationaux sur l’accord qui a créé la ZELCA et de prendre des engagements, afin d’améliorer la compréhension des acteurs sur les facteurs clés dudit accord.
Selon le ministre des Petites et Moyennes Entreprise Mohamed Lawan, le contexte historique de la ZELCA dont le processus de négociation a été lancé à la 25e session ordinaire de la conférence des chefs d’Etats et des gouvernements, tenue en juin 2015 en Afrique du sud et le résultat de la 10e conférence extraordinaire des Chefs d’Etats et des gouvernements de l’Union Africaine au Rwanda, le 29 mars 2018 qui ont créé la zone de libre-échange continental africain.
Il a expliqué que ce processus est considéré comme une étape clé visant à établir un marché commun africain, puis une communauté africaine prévue par le traité d’Abuja en 1991 et entré en vigueur le 30 mars 2019 pour engendrer l’accord sur la ZELCA.
« Cet accord vise entre autres à créer un marché unique pour les marchandises et les services, faciliter la libre circulation des personnes et des biens afin d’approfondir l’intégration économique du continent africain conformément à la vision panafricaine d’une Afrique intégrée, prospère, pacifique, tel qu’énoncer dans l’agenda 2063 », a déclaré le membre du gouvernement
Il poursuit en expliquant que créer un marché libéralisé pour les marchandises et services à travers des cibles susceptibles de négociations, de faciliter les investissements en s’appuyant sur les initiatives de développement des Etats.
Le ministre a indiqué que cet accord a proposé les bases de création d’une union douanière continentale à un stade ultérieur afin de promouvoir le développement industriel par la diversification de développement des chaînes de valeurs régionales.
Il a éclairci la lanterne des participants en affirmant que la 30e session extraordinaire des Chefs d’Etats et des gouvernements, tenue à Addis-Abeba, les 28 et 29 janvier 2018, avait instruit les Etats de prendre des dispositions utiles pour organiser les activités de sensibilisation des acteurs nationaux sur les enjeux de la mise en œuvre dudit accord.
« C’est dans cette optique que notre pays a mené beaucoup d’actions en vue de la mise en œuvre de cet accord à savoir, la signature de l’accord par le Président de la République, Faustin Archange Touadera, le 21 mars 2018 dont la ratification par l’Assemblée Nationale a été effective le 09 avril 2020 » a-t-il confirmé.
Il a annoncé que suite à ces procédures, le ministère du Commerces et de l’Industrie a organisé du 15 au 17 janvier 2020, un atelier de sensibilisation nationale des acteurs sur la procédure de présentation de la liste des produits sensibles. Il a eu également la formation du secteur privé sur les règles d’origine appropriée de l’organisation de produit industriel dans le régime tarifaire, préférentiel et harmonisé CEAC/CEMAC
Pour finir, il a demandé aux participant de s'approprier de cet atelier, afin d’être des acteurs du développement socioéconomique du pays et en même temps, les ténors de l’accord de la ZELCA.
Selon le ministre des Petites et Moyennes Entreprise Mohamed Lawan, le contexte historique de la ZELCA dont le processus de négociation a été lancé à la 25e session ordinaire de la conférence des chefs d’Etats et des gouvernements, tenue en juin 2015 en Afrique du sud et le résultat de la 10e conférence extraordinaire des Chefs d’Etats et des gouvernements de l’Union Africaine au Rwanda, le 29 mars 2018 qui ont créé la zone de libre-échange continental africain.
Il a expliqué que ce processus est considéré comme une étape clé visant à établir un marché commun africain, puis une communauté africaine prévue par le traité d’Abuja en 1991 et entré en vigueur le 30 mars 2019 pour engendrer l’accord sur la ZELCA.
« Cet accord vise entre autres à créer un marché unique pour les marchandises et les services, faciliter la libre circulation des personnes et des biens afin d’approfondir l’intégration économique du continent africain conformément à la vision panafricaine d’une Afrique intégrée, prospère, pacifique, tel qu’énoncer dans l’agenda 2063 », a déclaré le membre du gouvernement
Il poursuit en expliquant que créer un marché libéralisé pour les marchandises et services à travers des cibles susceptibles de négociations, de faciliter les investissements en s’appuyant sur les initiatives de développement des Etats.
Le ministre a indiqué que cet accord a proposé les bases de création d’une union douanière continentale à un stade ultérieur afin de promouvoir le développement industriel par la diversification de développement des chaînes de valeurs régionales.
Il a éclairci la lanterne des participants en affirmant que la 30e session extraordinaire des Chefs d’Etats et des gouvernements, tenue à Addis-Abeba, les 28 et 29 janvier 2018, avait instruit les Etats de prendre des dispositions utiles pour organiser les activités de sensibilisation des acteurs nationaux sur les enjeux de la mise en œuvre dudit accord.
« C’est dans cette optique que notre pays a mené beaucoup d’actions en vue de la mise en œuvre de cet accord à savoir, la signature de l’accord par le Président de la République, Faustin Archange Touadera, le 21 mars 2018 dont la ratification par l’Assemblée Nationale a été effective le 09 avril 2020 » a-t-il confirmé.
Il a annoncé que suite à ces procédures, le ministère du Commerces et de l’Industrie a organisé du 15 au 17 janvier 2020, un atelier de sensibilisation nationale des acteurs sur la procédure de présentation de la liste des produits sensibles. Il a eu également la formation du secteur privé sur les règles d’origine appropriée de l’organisation de produit industriel dans le régime tarifaire, préférentiel et harmonisé CEAC/CEMAC
Pour finir, il a demandé aux participant de s'approprier de cet atelier, afin d’être des acteurs du développement socioéconomique du pays et en même temps, les ténors de l’accord de la ZELCA.