POLITIQUE
Organisé par le ministère de l’Environnement et de l’Ecologie en partenariat avec l’Agence Française de Développement(AFD), cet atelier a pour but de lancer le processus des propositions et de préparation pour l’élaboration d’un document national permettant la Réduction des Emissions liées à la Déforestation et à la Dégradation des forêts en Centrafrique.
« Ce mécanisme REDD+ RCA vise à garantir d’une part la conservation des forêts pour la génération à venir, et d’autre part, à assurer à l’Etat et aux communautés des revenus liés aux marchés de carbone. a déclaré le Premier ministre Touadera dans son discours d’ouverture.
Selon le Premier ministre Centrafricain, « notre pays dispose non seulement d’une certaine capacité à contribuer au mécanisme REDD+ qui est un mécanisme permettant de prendre en compte le rôle de la forêt dans la régulation du climat et d’encourager la lutte contre la déforestation et la dégradation des forêts, mais aussi d’établir les scénarii de référence pour évaluer les progrès accomplis »,
« D’ores et déjà, je note avec satisfaction, la prise en compte effective des populations des zones forestières dans ce processus. Il s’agit dès à présent de les associer étroitement à toutes les étapes et en même temps de réfléchir à la mise en place d’un mécanisme pour une répartition équitable des bénéfices qui en découlent », a souhaité Faustin Archange Touadéra, Premier ministre.
Le Premier ministre a lancé un appel à l’endroit des autres partenaires au développement impliqués dans ce processus d’apporter leur contribution multiforme en vue d’appuyer ce processus qui démarre.
Le coordonnateur national du REDD+RCA, M. Igor Tola Kgadou a rappelé que « La République Centrafricaine est membre de la Commission des Forêts de l’Afrique Centrale (COMIFAC et fait partie des pays du Bassin de Congo qui abrite le second massif forestier du monde, véritable poumon écologique de la planète ».
« Par conséquent, elle est éligible pour un programme auprès de la Banque Mondiale pour pouvoir élaborer un document de proposition et de préparation à la REDD+ », a-t-il ajouté.
Il a signifié que ce document dont le délai d’élaboration est de six (6) mois sera soumis à la Banque Mondiale pour un financement à hauteur de un milliard huit cent millions de FCFA.
Il convient de rappeler que, cet atelier de deux jours permettra à la population et au département de l’Environnement et de l’Ecologie de s’approprier de ce que c’est que le REDD+ afin de prendre part activement au processus.
« Ce mécanisme REDD+ RCA vise à garantir d’une part la conservation des forêts pour la génération à venir, et d’autre part, à assurer à l’Etat et aux communautés des revenus liés aux marchés de carbone. a déclaré le Premier ministre Touadera dans son discours d’ouverture.
Selon le Premier ministre Centrafricain, « notre pays dispose non seulement d’une certaine capacité à contribuer au mécanisme REDD+ qui est un mécanisme permettant de prendre en compte le rôle de la forêt dans la régulation du climat et d’encourager la lutte contre la déforestation et la dégradation des forêts, mais aussi d’établir les scénarii de référence pour évaluer les progrès accomplis »,
« D’ores et déjà, je note avec satisfaction, la prise en compte effective des populations des zones forestières dans ce processus. Il s’agit dès à présent de les associer étroitement à toutes les étapes et en même temps de réfléchir à la mise en place d’un mécanisme pour une répartition équitable des bénéfices qui en découlent », a souhaité Faustin Archange Touadéra, Premier ministre.
Le Premier ministre a lancé un appel à l’endroit des autres partenaires au développement impliqués dans ce processus d’apporter leur contribution multiforme en vue d’appuyer ce processus qui démarre.
Le coordonnateur national du REDD+RCA, M. Igor Tola Kgadou a rappelé que « La République Centrafricaine est membre de la Commission des Forêts de l’Afrique Centrale (COMIFAC et fait partie des pays du Bassin de Congo qui abrite le second massif forestier du monde, véritable poumon écologique de la planète ».
« Par conséquent, elle est éligible pour un programme auprès de la Banque Mondiale pour pouvoir élaborer un document de proposition et de préparation à la REDD+ », a-t-il ajouté.
Il a signifié que ce document dont le délai d’élaboration est de six (6) mois sera soumis à la Banque Mondiale pour un financement à hauteur de un milliard huit cent millions de FCFA.
Il convient de rappeler que, cet atelier de deux jours permettra à la population et au département de l’Environnement et de l’Ecologie de s’approprier de ce que c’est que le REDD+ afin de prendre part activement au processus.
