L’audience de cette chambre préliminaire va permettre au Bureau du procureur, d’établir et de présenter les éléments de preuves qui décrivent les responsabilités individuelles des suspects Alfred Yékatom et Patrice Edouard Ngaïssona, poursuivis pour crimes de guerre et crime contre l'humanité.
Le Bureau du procureur dans sa présentation a signifié que, Alfred Yékatom Rambaut et Edouard Ngaissona sont responsables des actes de tortures, déportations, disparitions forcées, enrôlement des enfants soldats, viols dans les préfectures de la Lobaye, de l’Ombella-MPoko , de l’Ouham et de l’Ouham –Pendé, situées respectivement au Sud, au centre et au Nord-Ouest de la République Centrafricaine.
Selon Antoine-Kesita Mbembindua , le Bureau du procureur dispose d’un délai d’une semaine pour la présentation des éléments de preuves afin de convaincre la Chambre préliminaire pour la confirmation des charges portées contre les deux leaders des antibalaka.
Il faut noter que Alfred Yékatom et Edouard Ngaïssona sont poursuivis devant la Cour pénale internationale pour des faits graves qui leurs sont reprochés dans les pires moments de la crise politico-militaire qui a ébranlé les bases sociales de la population centrafricaine entre 2013-2014 et occasionné des pertes en vies humaines et des destructions des biens.
Le Bureau du procureur dans sa présentation a signifié que, Alfred Yékatom Rambaut et Edouard Ngaissona sont responsables des actes de tortures, déportations, disparitions forcées, enrôlement des enfants soldats, viols dans les préfectures de la Lobaye, de l’Ombella-MPoko , de l’Ouham et de l’Ouham –Pendé, situées respectivement au Sud, au centre et au Nord-Ouest de la République Centrafricaine.
Selon Antoine-Kesita Mbembindua , le Bureau du procureur dispose d’un délai d’une semaine pour la présentation des éléments de preuves afin de convaincre la Chambre préliminaire pour la confirmation des charges portées contre les deux leaders des antibalaka.
Il faut noter que Alfred Yékatom et Edouard Ngaïssona sont poursuivis devant la Cour pénale internationale pour des faits graves qui leurs sont reprochés dans les pires moments de la crise politico-militaire qui a ébranlé les bases sociales de la population centrafricaine entre 2013-2014 et occasionné des pertes en vies humaines et des destructions des biens.