L’objectif de cette rencontre est d’informer les entreprises extractives de la fin de la période transitoire, de la mise en conformité à la nouvelle réglementation des changes des opérations internationales réalisées par les entreprises residentes de la zone CEMAC qui court jusqu’au 31 décembre 2021.
Le Gouverneur de la BEAC, Abbas Mahamat Tolli a déclaré que la révision du réglement en vigueur a été posée en 2011 dans le cadre des activités de suivi du rapatriement des avoirs en devises des Etats membres de la CEMAC, menées par le comité mixte BEAC/Banque de France/Trésor Français.
“Les réflexions approfondies sur le niveau des réserves extérieures conduites par le comité mixte ont mis en évidence non seulement une connaissance par les parties prenantes du cadre réglementaire et opérationnel de la réglémentation des changes, mais également un faible rapatriement des recettes d’exportation”, a déclaré Abbas Mahamat Tolli.
Selon le Gouverneur de la BEAC, les difficultés et le constat de la quasi-absence d’application de la réglementation des changes harmonisée en 2000, nécessite de faire évoluer le dispositif, afin de le mettre en adéquation avec les mutations profondes des sphères économiques et financières mondiales et sous régionales ces dernières années.
“Le diagnostic de la situation macroéconomique réalisé par les hautes autorités de la CEMAC et le Gouvernement de la BEAC a fait ressortir que la politique monétaire n’était pas sous-tendue par une réglementation des changes adaptée à l’évolution de notre environnement et conforme aux engagements internationaux de nos Etats”, a relevé le Gouverneur.
C’est dans ces conditions que le Gouverneur de la BEAC a donné des instructions en vue d’accélérer la réforme de cet instrument de régulation des transactions avec l’extérieur, afin de le rendre plus efficient dans la gestion des réserves de changes et la conduite de la politique monétaire.
Pour le Gouverneur de la BEAC, la mise en oeuvre de la réglementation des changes dans la zone CEMAC engage depuis 2019, s’inscrit dans la droite ligne avec les hautes institutions qui ont exigé que l’application de la réglementation des changes soit étendue à tous les secteurs d’activité.
Rappelons que la réunion de Douala a regroupé plus de 400 participants entre autres les représentants de la BEAC, de la CEMAC, de la COBAC, les entreprises résidentes de la CEMAC opérant dans les secteurs hydrocarbures et des mines, les représentants des ministères des Finances et de la Douane, des Hydrocarbures, des Affaires étrangères, ainsi que les Directeurs nationaux des six (6) pays de la CEMAC.
Le Gouverneur de la BEAC, Abbas Mahamat Tolli a déclaré que la révision du réglement en vigueur a été posée en 2011 dans le cadre des activités de suivi du rapatriement des avoirs en devises des Etats membres de la CEMAC, menées par le comité mixte BEAC/Banque de France/Trésor Français.
“Les réflexions approfondies sur le niveau des réserves extérieures conduites par le comité mixte ont mis en évidence non seulement une connaissance par les parties prenantes du cadre réglementaire et opérationnel de la réglémentation des changes, mais également un faible rapatriement des recettes d’exportation”, a déclaré Abbas Mahamat Tolli.
Selon le Gouverneur de la BEAC, les difficultés et le constat de la quasi-absence d’application de la réglementation des changes harmonisée en 2000, nécessite de faire évoluer le dispositif, afin de le mettre en adéquation avec les mutations profondes des sphères économiques et financières mondiales et sous régionales ces dernières années.
“Le diagnostic de la situation macroéconomique réalisé par les hautes autorités de la CEMAC et le Gouvernement de la BEAC a fait ressortir que la politique monétaire n’était pas sous-tendue par une réglementation des changes adaptée à l’évolution de notre environnement et conforme aux engagements internationaux de nos Etats”, a relevé le Gouverneur.
C’est dans ces conditions que le Gouverneur de la BEAC a donné des instructions en vue d’accélérer la réforme de cet instrument de régulation des transactions avec l’extérieur, afin de le rendre plus efficient dans la gestion des réserves de changes et la conduite de la politique monétaire.
Pour le Gouverneur de la BEAC, la mise en oeuvre de la réglementation des changes dans la zone CEMAC engage depuis 2019, s’inscrit dans la droite ligne avec les hautes institutions qui ont exigé que l’application de la réglementation des changes soit étendue à tous les secteurs d’activité.
Rappelons que la réunion de Douala a regroupé plus de 400 participants entre autres les représentants de la BEAC, de la CEMAC, de la COBAC, les entreprises résidentes de la CEMAC opérant dans les secteurs hydrocarbures et des mines, les représentants des ministères des Finances et de la Douane, des Hydrocarbures, des Affaires étrangères, ainsi que les Directeurs nationaux des six (6) pays de la CEMAC.