L’objectif de cette formation, est de favoriser l’augmentation des recettes fiscales, la réduction du coût des transactions économiques et sociales, améliorer la connectivité numérique entre différentes communautés et entre les administrations et les usagers.
Le représentant du ministre des Postes et télécommunications Nicaise Adolph Samafou a indiqué qu'en octobre 2019, le Chef de l’Etat Faustin Archange Touadéra avait personnellement présidé la cérémonie du lancement du projet fibre optique qui concerne la population Centrafricaine en générale, même ceux qui mènent des activités commerciales, économiques et qui doivent être à mesure de s’approprier de cet outil.
« Le projet CAB-RCA est né de la volonté exprimée par les chefs d’Etat, et de gouvernement de la Communauté Economique Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC), lors de sommet tenu à Ndjaména au Tchad en 2007. Ils avaient décidé de réduire la fracture numérique dans la sous-région en la dotant d’un réseau de télécommunication fiable à haut débit et ce réseau doit relier tous les pays de la communauté à travers une connexion terrestre ou sous –marine à fibre optique », a déclaré Adolph Nicaise Samafou.
Selon lui, la République centrafricaine s’est tournée vers le développement de l’économie numérique, un secteur en perpétuelle mutation, qui offre aux utilisateurs des opportunités de développement par la création des produits nouveaux répondant aux attentes du grand public.
« Le projet CAB-RCA permettra le désenclavement numérique des zones rurales couplées avec l’intégration régionale par l’intermédiaire d’une infrastructure à fibre optique d’accès aux pays limitrophes, notamment le Cameroun et le Congo Brazza », a-t-il souligné.
Il faut rappeler que le projet CAB-RCA est un projet de 4 ans, sur financement de la Banque Africaine de Développement (BAD), et de l’Union Européenne (UE) a été lancé au mois de mars 2018. Plus d’une dizaine de journalistes ont pris part à cette formation.
Le représentant du ministre des Postes et télécommunications Nicaise Adolph Samafou a indiqué qu'en octobre 2019, le Chef de l’Etat Faustin Archange Touadéra avait personnellement présidé la cérémonie du lancement du projet fibre optique qui concerne la population Centrafricaine en générale, même ceux qui mènent des activités commerciales, économiques et qui doivent être à mesure de s’approprier de cet outil.
« Le projet CAB-RCA est né de la volonté exprimée par les chefs d’Etat, et de gouvernement de la Communauté Economique Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC), lors de sommet tenu à Ndjaména au Tchad en 2007. Ils avaient décidé de réduire la fracture numérique dans la sous-région en la dotant d’un réseau de télécommunication fiable à haut débit et ce réseau doit relier tous les pays de la communauté à travers une connexion terrestre ou sous –marine à fibre optique », a déclaré Adolph Nicaise Samafou.
Selon lui, la République centrafricaine s’est tournée vers le développement de l’économie numérique, un secteur en perpétuelle mutation, qui offre aux utilisateurs des opportunités de développement par la création des produits nouveaux répondant aux attentes du grand public.
« Le projet CAB-RCA permettra le désenclavement numérique des zones rurales couplées avec l’intégration régionale par l’intermédiaire d’une infrastructure à fibre optique d’accès aux pays limitrophes, notamment le Cameroun et le Congo Brazza », a-t-il souligné.
Il faut rappeler que le projet CAB-RCA est un projet de 4 ans, sur financement de la Banque Africaine de Développement (BAD), et de l’Union Européenne (UE) a été lancé au mois de mars 2018. Plus d’une dizaine de journalistes ont pris part à cette formation.