Organisé par le ministère du Développement de l’Énergie et des Ressources Hydrauliques avec l’appui financier de la Banque Mondiale, cet atelier national de lancement du projet vise à faire un état des lieux du sous-secteur de l’électricité et des énergies renouvelables en vue d’identifier les besoins propres à la République Centrafricaine.
L’Inspecteur central Olivier Malibangar a indiqué que ce projet s’inscrit dans la droite ligne du Plan de relèvement pour la consolidation de la paix en République Centrafricaine (RCPCA), qui sert de feuille de route à l'action du gouvernement.
« Le gouvernement entend promouvoir les énergies renouvelables en général et en particulier les énergies solaires pour permettre un plus grand accès à l’électricité propre des populations des zones rurales », a-t-il poursuivi.
Il a rappelé que la stratégie du gouvernement en matière du sous-secteur d’électricité en milieu rural est de remplacer les centrales thermiques existantes par des centrales à énergie renouvelable, notamment en énergie solaire afin de contribuer à l’amélioration de la vie de la population.
Il a par ailleurs relevé que la Centrafrique est un pays qui dispose d’importantes potentialités énergétiques, en hydroélectricité, en solaire et voire biomasse, même si son taux d’accès à l’électricité reste très faible.
Il convient de noter que les 15 pays de l’espace de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont élaboré un projet régional d’électrification hors réseau, étendu à quatre autres pays, notamment la République Centrafricaine, le Cameroun, le Tchad et la Mauritanie et dont le lancement officiel a eu lieu le 12 octobre dernier à Dakar, au Sénégal.
L’Inspecteur central Olivier Malibangar a indiqué que ce projet s’inscrit dans la droite ligne du Plan de relèvement pour la consolidation de la paix en République Centrafricaine (RCPCA), qui sert de feuille de route à l'action du gouvernement.
« Le gouvernement entend promouvoir les énergies renouvelables en général et en particulier les énergies solaires pour permettre un plus grand accès à l’électricité propre des populations des zones rurales », a-t-il poursuivi.
Il a rappelé que la stratégie du gouvernement en matière du sous-secteur d’électricité en milieu rural est de remplacer les centrales thermiques existantes par des centrales à énergie renouvelable, notamment en énergie solaire afin de contribuer à l’amélioration de la vie de la population.
Il a par ailleurs relevé que la Centrafrique est un pays qui dispose d’importantes potentialités énergétiques, en hydroélectricité, en solaire et voire biomasse, même si son taux d’accès à l’électricité reste très faible.
Il convient de noter que les 15 pays de l’espace de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont élaboré un projet régional d’électrification hors réseau, étendu à quatre autres pays, notamment la République Centrafricaine, le Cameroun, le Tchad et la Mauritanie et dont le lancement officiel a eu lieu le 12 octobre dernier à Dakar, au Sénégal.