Dans son discours d’ouverture, le ministre d’Etat au Développement rural, qui représentait le Premier ministre, M. Faustin Archange Touadéra, a fait remarquer que les nouvelles technologies de l’information et de la communication (Ntic) constituent d’ « irréfutables moyens de désenclavement tant endogène qu’exogène et un vecteur de développement sous toutes ses formes ».
« Nous sommes convaincus que les Ntic ont indubitablement la capacité de transformer les procédés de production comme le commerce, la gouvernance, l’éducation, la santé, en un mot de faciliter la participation des populations au développement », a-t-il affirmé.
Le ministre des Postes et Télécommunications chargé des nouvelles technologies, M. Fidèle Gouandjika, a pour sa part expliqué que la conception du projet fibre optique en Afrique centrale est un tournant décisif dans l’histoire des télécommunications et des technologies dans la sous-région.
« La réalisation de l’interconnexion de ces trois pays de la sous région permettra d’ouvrir les pays de la sous région à l’autoroute mondiale de l’information et le développement des services de technologies de pointes à l’heure de la mondialisation », a-t-il déclaré.
Il a précisé que l’aboutissement du projet va permettre d’avoir des services téléphoniques de qualité, de l’Internet à haut débit, l’application de la vidéo sur Internet, la télésurveillance, la télémédecine, le téléenseignement. C’est compte tenu de l’enjeu de développement de ce projet que la Banque mondiale a accepté de le financer à auteur de 160 millions de dollars.
Pour l’expert de la Banque mondiale, M. Yann Burtin, le projet fibre optique Afrique centrale se situe dans le cadre de la promotion de l’intégration régionale et d’accélérer la croissance économique.
Ces assises, qui voient la participation des experts des trois pays concernés, prendront fin le 20 février prochain.
« Nous sommes convaincus que les Ntic ont indubitablement la capacité de transformer les procédés de production comme le commerce, la gouvernance, l’éducation, la santé, en un mot de faciliter la participation des populations au développement », a-t-il affirmé.
Le ministre des Postes et Télécommunications chargé des nouvelles technologies, M. Fidèle Gouandjika, a pour sa part expliqué que la conception du projet fibre optique en Afrique centrale est un tournant décisif dans l’histoire des télécommunications et des technologies dans la sous-région.
« La réalisation de l’interconnexion de ces trois pays de la sous région permettra d’ouvrir les pays de la sous région à l’autoroute mondiale de l’information et le développement des services de technologies de pointes à l’heure de la mondialisation », a-t-il déclaré.
Il a précisé que l’aboutissement du projet va permettre d’avoir des services téléphoniques de qualité, de l’Internet à haut débit, l’application de la vidéo sur Internet, la télésurveillance, la télémédecine, le téléenseignement. C’est compte tenu de l’enjeu de développement de ce projet que la Banque mondiale a accepté de le financer à auteur de 160 millions de dollars.
Pour l’expert de la Banque mondiale, M. Yann Burtin, le projet fibre optique Afrique centrale se situe dans le cadre de la promotion de l’intégration régionale et d’accélérer la croissance économique.
Ces assises, qui voient la participation des experts des trois pays concernés, prendront fin le 20 février prochain.