Le but de cet atelier de 48 heures organisé à l’intention des personnes intervenant dans le domaine de la santé dans les établissements pénitentiaires est de leur permettre de s’approprier le contenu de ce document pour en assurer une meilleure application sur le terrain.
Le ministre Flavien M’Bata a expliqué que la constitution du 30 mars 2016 a prévu en son article 8 que chaque centrafricain a droit à la santé y compris les détenus et ceux qui sont privés de leur liberté, ceux qui sont en prison ont droit à la santé.
Il a noté que c’est dans ce cadre que le gouvernement, grâce à l’appui des partenaires comme la MINUSCA et le CICR, a élaboré ce document cadre de politique nationale en matière de santé pour pouvoir corriger les carences au niveau de l’administration pénitentiaire, notamment l’absence d’infirmerie, de médecins, de médicaments, etc.
La situation des personnes détenues dans des établissements pénitentiaires en République Centrafricaine a fait l’objet de constats alarmants de la part des partenaires intervenant en milieu carcéral, a-t-il relevé, soulignant que lorsque quelqu’un est privé de liberté, il ne faut pas qu’il perde ce droit à la santé.
Il a indiqué qu’en dépit des efforts fournis par le gouvernement pour faire face à ses responsabilités avec le soutien des partenaires au développement, le gap demeure important entre la réalité vécue et les standards internationaux en la matière.
Le Chef intérimaire de la section des Affaires judiciaires et pénitentiaires de la MINUSCA , Luc Zina, a souligné que son institution, en collaboration avec le CICR, a apporté un appui technique et financier en vue de l’élaboration dudit document.
Il a rassuré le gouvernement du soutien continu de la MINUSCA dans le cadre de son mandat, de la mise en œuvre de cette politique et toutes autres initiatives visant l’humanisation des conditions des détenus dans les prisons.
Il convient de rappeler que la signature officielle dudit document par le Premier-ministre a eu lieu le 9 janvier 2019.
Le ministre Flavien M’Bata a expliqué que la constitution du 30 mars 2016 a prévu en son article 8 que chaque centrafricain a droit à la santé y compris les détenus et ceux qui sont privés de leur liberté, ceux qui sont en prison ont droit à la santé.
Il a noté que c’est dans ce cadre que le gouvernement, grâce à l’appui des partenaires comme la MINUSCA et le CICR, a élaboré ce document cadre de politique nationale en matière de santé pour pouvoir corriger les carences au niveau de l’administration pénitentiaire, notamment l’absence d’infirmerie, de médecins, de médicaments, etc.
La situation des personnes détenues dans des établissements pénitentiaires en République Centrafricaine a fait l’objet de constats alarmants de la part des partenaires intervenant en milieu carcéral, a-t-il relevé, soulignant que lorsque quelqu’un est privé de liberté, il ne faut pas qu’il perde ce droit à la santé.
Il a indiqué qu’en dépit des efforts fournis par le gouvernement pour faire face à ses responsabilités avec le soutien des partenaires au développement, le gap demeure important entre la réalité vécue et les standards internationaux en la matière.
Le Chef intérimaire de la section des Affaires judiciaires et pénitentiaires de la MINUSCA , Luc Zina, a souligné que son institution, en collaboration avec le CICR, a apporté un appui technique et financier en vue de l’élaboration dudit document.
Il a rassuré le gouvernement du soutien continu de la MINUSCA dans le cadre de son mandat, de la mise en œuvre de cette politique et toutes autres initiatives visant l’humanisation des conditions des détenus dans les prisons.
Il convient de rappeler que la signature officielle dudit document par le Premier-ministre a eu lieu le 9 janvier 2019.