L’objectif de cet atelier est de doter la République Centrafricaine d’une loi fondamentale sur la protection et l’assistance aux personnes déplacées internes.
Cet atelier d’une journée organisé par le ministère de l’Action Humanitaire et de la Réconciliation Nationale, avec l’appui financier du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), a mobilisé une quarantaine de cadres des différents départements impliqués dans le but de peaufiner l’avant-projet de loi avant de le soumettre à l’Assemblée nationale pour adoption.
La ministre Virginie Mbaïkoua a indiqué que « le gouvernement met tout en œuvre pour protéger les droits fondamentaux des Centrafricains ».
Le membre du gouvernement a soutenu que l’une des missions assignées à son département est de promouvoir la domestication de la convention de Kampala de 2009 sur les réfugiés, les rapatriés et les personnes déplacées en Afrique, d’impulser l’harmonisation de cette convention qui est supranationale avec la législation nationale.
Elle a rappelé l’importance que le gouvernement attache à ce document et les attentes de nombreux citoyens centrafricains qui réclament Justice.
« Il faut créer des conditions favorables au retour des personnes déplacées afin qu’elles puissent s’insérer dans la vie active », a souligné la ministre Mbaïkoua.
Le gouvernement a deux outils essentiels, notamment le présent projet de loi et les stratégies des solutions durables, a-t-elle indiqué.
Le Coordonnateur humanitaire adjoint, Jean-François Aguilera, s’est réjoui que cette législation fournisse un cadre juridique adéquat et des outils pour une meilleure protection des personnes déplacées, tout en définissant les pistes de solution durable aux problématiques de déplacement interne dans le pays.
« Ce projet de loi offre une base juridique et institutionnelle pour assister les personnes retournées afin d’accéder à des solutions durables, en ce qui concerne les garanties sur leur droit foncier », a-t-il souligné.
Il convient de rappeler que la République Centrafricaine a ratifié en décembre 2010 la convention de l’Union Africaine de Kampala, en Ouganda, sur la protection et l’assistance aux personnes déplacées en Afrique.
Cet atelier d’une journée organisé par le ministère de l’Action Humanitaire et de la Réconciliation Nationale, avec l’appui financier du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), a mobilisé une quarantaine de cadres des différents départements impliqués dans le but de peaufiner l’avant-projet de loi avant de le soumettre à l’Assemblée nationale pour adoption.
La ministre Virginie Mbaïkoua a indiqué que « le gouvernement met tout en œuvre pour protéger les droits fondamentaux des Centrafricains ».
Le membre du gouvernement a soutenu que l’une des missions assignées à son département est de promouvoir la domestication de la convention de Kampala de 2009 sur les réfugiés, les rapatriés et les personnes déplacées en Afrique, d’impulser l’harmonisation de cette convention qui est supranationale avec la législation nationale.
Elle a rappelé l’importance que le gouvernement attache à ce document et les attentes de nombreux citoyens centrafricains qui réclament Justice.
« Il faut créer des conditions favorables au retour des personnes déplacées afin qu’elles puissent s’insérer dans la vie active », a souligné la ministre Mbaïkoua.
Le gouvernement a deux outils essentiels, notamment le présent projet de loi et les stratégies des solutions durables, a-t-elle indiqué.
Le Coordonnateur humanitaire adjoint, Jean-François Aguilera, s’est réjoui que cette législation fournisse un cadre juridique adéquat et des outils pour une meilleure protection des personnes déplacées, tout en définissant les pistes de solution durable aux problématiques de déplacement interne dans le pays.
« Ce projet de loi offre une base juridique et institutionnelle pour assister les personnes retournées afin d’accéder à des solutions durables, en ce qui concerne les garanties sur leur droit foncier », a-t-il souligné.
Il convient de rappeler que la République Centrafricaine a ratifié en décembre 2010 la convention de l’Union Africaine de Kampala, en Ouganda, sur la protection et l’assistance aux personnes déplacées en Afrique.