Organisé par le ministère des Mines, de l’énergie et l’Hydraulique, en partenariat avec la (Cicos) cet atelier a pour objectif de doter la République Centrafricaine d’un plan d’action national permettant de mettre en place des structures de relais.
Le directeur général de l’Hydraulique, M. Sylvain Guebanda, a expliqué que l’objectif attendu est d’avoir un plan d’action régional qui sera adopté par les experts lors de l’atelier de synthèse des Etats membres prévu en novembre prochain à Bangui.
Selon le ministre délégué aux mines M Jean Chrysostome Mékondongo, « cette structure permettra les approbations au niveau national, des projets exécutés par la Cicos d’une part et le renforcement des mécanismes de suivi et évaluation des activités de cette institution par les Etats d’autres part ».
Il a ensuite expliqué que la Cicos a vu le jour le 16 novembre 1999 de la volonté des Etats membres, à savoir le Cameroun, la République Centrafricaine, la République Démocratique du Congo et le Congo, dans un but de mettre en valeur et de mieux gérer l’immense potentiel des ressources en eau dont dispose le bassin du Congo.
Pour le ministre délégué, cet atelier de deux jours s’inscrit dans la droite ligne de l’évolution de la coopération de gestion du Congo bassin débutée depuis plus d’un siècle. Rappelons que c’est le ministre d’Etat centrafricain aux mines, à l’énergie et à l’hydraulique M. Sylvain Ndoutigaï qui est le président en exercice du comité des ministres de la Cicos.
Le directeur général de l’Hydraulique, M. Sylvain Guebanda, a expliqué que l’objectif attendu est d’avoir un plan d’action régional qui sera adopté par les experts lors de l’atelier de synthèse des Etats membres prévu en novembre prochain à Bangui.
Selon le ministre délégué aux mines M Jean Chrysostome Mékondongo, « cette structure permettra les approbations au niveau national, des projets exécutés par la Cicos d’une part et le renforcement des mécanismes de suivi et évaluation des activités de cette institution par les Etats d’autres part ».
Il a ensuite expliqué que la Cicos a vu le jour le 16 novembre 1999 de la volonté des Etats membres, à savoir le Cameroun, la République Centrafricaine, la République Démocratique du Congo et le Congo, dans un but de mettre en valeur et de mieux gérer l’immense potentiel des ressources en eau dont dispose le bassin du Congo.
Pour le ministre délégué, cet atelier de deux jours s’inscrit dans la droite ligne de l’évolution de la coopération de gestion du Congo bassin débutée depuis plus d’un siècle. Rappelons que c’est le ministre d’Etat centrafricain aux mines, à l’énergie et à l’hydraulique M. Sylvain Ndoutigaï qui est le président en exercice du comité des ministres de la Cicos.