L’objectif de cet atelier est de sensibiliser les acteurs des différents départements impliqués, du secteur privé sur l’accord de facilitation des échanges et les engagements pris par la République Centrafricaine.
Organisé par le ministère du Commerces et de l’Industrie, avec le concours technique et financier du CCI, cet atelier de trois jours va permettre à une cinquantaine de cadres des différents départements ministériels concernés et ceux du secteur privé d’être édifiés sur l’accord de facilitation des échanges et ses implications, de procéder au traitement spécial différencié et les obligations de notification, et la catégorisation de mesure de l’accord de facilitation des échanges.
Le Ministre Côme Assane a indiqué qu’aujourd’hui, la République Centrafricaine est partie prenante de l’Organisation Mondiale du Commerce, c’est une opportunité pour les entreprises nationales, aux investisseurs et tous ceux qui œuvrent dans le domaine économique de s’imprégner de ce processus de facilitation des échanges commerciaux.
Le Conseiller du CCI, Pierre Bonthonneau, a souligné qu’en mettant en place cet accord « la Centrafrique pourra bénéficier d’un environnement des échanges plus efficace », avant d'ajouter que cet accord vise à réduire les coûts d’importation et d’exportation depuis la République Centrafricaine pour les entreprises.
Il a par ailleurs soutenu que pour tous les pays enclavés dont la Centrafrique, cet accord de facilitation des échanges est une immense opportunité pour faciliter la manière dont les entreprises s’intègrent dans le commerce international afin d’améliorer ainsi la compétitivité du secteur privé.
Il convient de rappeler que la République Centrafricaine a ratifié l’accord de facilitation des échanges de l’OMC en janvier 2018 en s’engageant ainsi à améliorer la transparence et l’efficacité des procédures aux frontières.
Organisé par le ministère du Commerces et de l’Industrie, avec le concours technique et financier du CCI, cet atelier de trois jours va permettre à une cinquantaine de cadres des différents départements ministériels concernés et ceux du secteur privé d’être édifiés sur l’accord de facilitation des échanges et ses implications, de procéder au traitement spécial différencié et les obligations de notification, et la catégorisation de mesure de l’accord de facilitation des échanges.
Le Ministre Côme Assane a indiqué qu’aujourd’hui, la République Centrafricaine est partie prenante de l’Organisation Mondiale du Commerce, c’est une opportunité pour les entreprises nationales, aux investisseurs et tous ceux qui œuvrent dans le domaine économique de s’imprégner de ce processus de facilitation des échanges commerciaux.
Le Conseiller du CCI, Pierre Bonthonneau, a souligné qu’en mettant en place cet accord « la Centrafrique pourra bénéficier d’un environnement des échanges plus efficace », avant d'ajouter que cet accord vise à réduire les coûts d’importation et d’exportation depuis la République Centrafricaine pour les entreprises.
Il a par ailleurs soutenu que pour tous les pays enclavés dont la Centrafrique, cet accord de facilitation des échanges est une immense opportunité pour faciliter la manière dont les entreprises s’intègrent dans le commerce international afin d’améliorer ainsi la compétitivité du secteur privé.
Il convient de rappeler que la République Centrafricaine a ratifié l’accord de facilitation des échanges de l’OMC en janvier 2018 en s’engageant ainsi à améliorer la transparence et l’efficacité des procédures aux frontières.