L’objectif de cet atelier de 4 jours est de contribuer à améliorer la prévention des infections sexuellement transmissibles/VIH et lutter contre les violences basées sur le genre(VBG).
Le coordonnateur Wilfried Sylvain Nambei a indiqué que la République Centrafricaine fait partie des pays les plus durement touchés par la pandémie du VIH/Sida dans le monde, ajoutant que le pays fait face depuis 2012 à des troubles politico-militaires avec l’occupation d’une grande partie du territoire national par des groupes armés, des déplacements des populations, des agressions de tous genres sur les populations civiles.
Depuis le retour à l’ordre constitutionnel en 2016, des efforts sont entrepris par le gouvernement pour rétablir l’autorité de l’Etat à travers la formation, notamment en faveur des hommes en uniforme dont les forces armées centrafricaines (FACA) qui sont des populations vulnérables figurant parmi les populations les plus touchées (7,8% en 2009), a indiqué le Pr Wilfrid Sylvain Nambei.
Un mémorandum portant sur « zéro VIH et violence basées sur le genre avec les forces de défense et de sécurité en République centrafricaine » a été signé entre le ministre de la Défense nationale et de la Restructuration de l’armée, le ministère de la Santé et de la Population, le Comité national de lutte contre le sida et l’ONUSIDA a-t-il également indiqué soulignant que ce mémorandum est assorti d’une initiative appelée « Atteindre zéro VIH et VGB avec les forces de défense et de sécurité ».
Selon lui, la Croix rouge française, récipiendaire principal des financements du Fonds mondial pour les composantes VIH et tuberculose, a décidé d’appuyer la formation de 180 pairs éducateurs militaires et paramilitaires pour des activités de sensibilisation des militaires et de leurs proches en matière de prévention des infections sexuellement transmissibles et des violences basées sur le genre (VGB).
Il convient de rappeler que cet atelier de formation prévu du 7 au 10 mai regroupe 38 gendarmes, 38 policiers et 38 éléments des FACA.
Le coordonnateur Wilfried Sylvain Nambei a indiqué que la République Centrafricaine fait partie des pays les plus durement touchés par la pandémie du VIH/Sida dans le monde, ajoutant que le pays fait face depuis 2012 à des troubles politico-militaires avec l’occupation d’une grande partie du territoire national par des groupes armés, des déplacements des populations, des agressions de tous genres sur les populations civiles.
Depuis le retour à l’ordre constitutionnel en 2016, des efforts sont entrepris par le gouvernement pour rétablir l’autorité de l’Etat à travers la formation, notamment en faveur des hommes en uniforme dont les forces armées centrafricaines (FACA) qui sont des populations vulnérables figurant parmi les populations les plus touchées (7,8% en 2009), a indiqué le Pr Wilfrid Sylvain Nambei.
Un mémorandum portant sur « zéro VIH et violence basées sur le genre avec les forces de défense et de sécurité en République centrafricaine » a été signé entre le ministre de la Défense nationale et de la Restructuration de l’armée, le ministère de la Santé et de la Population, le Comité national de lutte contre le sida et l’ONUSIDA a-t-il également indiqué soulignant que ce mémorandum est assorti d’une initiative appelée « Atteindre zéro VIH et VGB avec les forces de défense et de sécurité ».
Selon lui, la Croix rouge française, récipiendaire principal des financements du Fonds mondial pour les composantes VIH et tuberculose, a décidé d’appuyer la formation de 180 pairs éducateurs militaires et paramilitaires pour des activités de sensibilisation des militaires et de leurs proches en matière de prévention des infections sexuellement transmissibles et des violences basées sur le genre (VGB).
Il convient de rappeler que cet atelier de formation prévu du 7 au 10 mai regroupe 38 gendarmes, 38 policiers et 38 éléments des FACA.