Organisé par le ministère de la Famille, des affaires sociales et de la solidarité nationale en partenariat avec le Comité inter-africain sur les pratiques traditionnelles ayant un effet sur la santé des femmes et des enfants (CIAF), cet atelier vise à renforcer les capacités des responsables des associations féminines en matière de lutte contre les violences à l’égard des femmes.
M. Cyprien Manguélet a indiqué que l’organisation de cet atelier se situe dans le cadre de la Journée de lutte contre les violences faites aux femmes, célébrée le 25 novembre de chaque année.
Pour lui, cet atelier devrait contribuer à rendre plus efficaces, les activités relatives à la protection et à la promotion de la femme, sur toute l’étendue du territoire national.
Pour la vice présidente de CIAF Centrafrique, Mme Aminata Côme, il s’agit de la première tranche d’une série de campagnes de formation et d’information sur les pratiques traditionnelles néfastes ayant un effet sur la santé des femmes et de l’enfant, qui vise à doter les femmes d’outils leur permettant de participer au respect de leurs droits.
Selon Mme Aminata Côme, les pratiques traditionnelles néfastes dont il s’agit sont entres autres les violences sexuelles, l’excision, le mariage forcé ou précoce.
Il convient de rappeler que CIAF Centrafrique a été créé 11 septembre 2004 et a pour objectifs de contribuer à la promotion et à la protection des droits des femmes et des enfants en RCA, libérer les femmes sous le joug des pratiques néfastes et d’autres formes de violences liées au genre.
Le CIAF se donne également pour mission de mettre en relief les dangers que constituent certaines pratiques traditionnelles et violences pour la santé de reproduction. Pour atteindre ces objectifs, il développe un programme d’information et de sensibilisation de la population sur ces pratiques.
M. Cyprien Manguélet a indiqué que l’organisation de cet atelier se situe dans le cadre de la Journée de lutte contre les violences faites aux femmes, célébrée le 25 novembre de chaque année.
Pour lui, cet atelier devrait contribuer à rendre plus efficaces, les activités relatives à la protection et à la promotion de la femme, sur toute l’étendue du territoire national.
Pour la vice présidente de CIAF Centrafrique, Mme Aminata Côme, il s’agit de la première tranche d’une série de campagnes de formation et d’information sur les pratiques traditionnelles néfastes ayant un effet sur la santé des femmes et de l’enfant, qui vise à doter les femmes d’outils leur permettant de participer au respect de leurs droits.
Selon Mme Aminata Côme, les pratiques traditionnelles néfastes dont il s’agit sont entres autres les violences sexuelles, l’excision, le mariage forcé ou précoce.
Il convient de rappeler que CIAF Centrafrique a été créé 11 septembre 2004 et a pour objectifs de contribuer à la promotion et à la protection des droits des femmes et des enfants en RCA, libérer les femmes sous le joug des pratiques néfastes et d’autres formes de violences liées au genre.
Le CIAF se donne également pour mission de mettre en relief les dangers que constituent certaines pratiques traditionnelles et violences pour la santé de reproduction. Pour atteindre ces objectifs, il développe un programme d’information et de sensibilisation de la population sur ces pratiques.