Organisé par le Cadre Permanent de Concertation (CPC) Etat-secteur privé, ce forum regroupant quelque cent cadres des différents départements ministériels vise à sensibiliser les uns et les autres sur les éléments qui concourent au dialogue entre l'Etat et le secteur privé afin d’améliorer le climat des affaires en Centrafrique.
M. Touadéra a relevé que seules 50 Entreprises privées participent aujourd'hui au développement du pays contre 500 par le passé.
« Les difficultés financières du gouvernement ne permettront pas de s’appuyer sur l’investissement public pour relancer l’économie nationale, » a-t-il précisé, ajoutant que « le renforcement des investissements privés s’avère donc une nécessité et la meilleure alternative pour une croissance durable ».
Signalons que pour améliorer le classement, « la facilité de faire des affaires », il suffit de respecter dix indicateurs, à savoir la création d’entreprise, l'octroi de licences, l'embauche des travailleurs, le transfert de propriété, l'obtention de prêts, la protection des investisseurs, le paiement des taxes et impôts, le commerce transfrontalier, l'exécution des contrats et la fermeture d’entreprise.
A noter que la République Centrafricaine occupe l’avant dernier rang, sur 178 pays du monde sur « la facilité de faire des affaires ».
M. Touadéra a relevé que seules 50 Entreprises privées participent aujourd'hui au développement du pays contre 500 par le passé.
« Les difficultés financières du gouvernement ne permettront pas de s’appuyer sur l’investissement public pour relancer l’économie nationale, » a-t-il précisé, ajoutant que « le renforcement des investissements privés s’avère donc une nécessité et la meilleure alternative pour une croissance durable ».
Signalons que pour améliorer le classement, « la facilité de faire des affaires », il suffit de respecter dix indicateurs, à savoir la création d’entreprise, l'octroi de licences, l'embauche des travailleurs, le transfert de propriété, l'obtention de prêts, la protection des investisseurs, le paiement des taxes et impôts, le commerce transfrontalier, l'exécution des contrats et la fermeture d’entreprise.
A noter que la République Centrafricaine occupe l’avant dernier rang, sur 178 pays du monde sur « la facilité de faire des affaires ».