Le but de ce dialogue est de montrer les difficultés que vivent les femmes séropositives quant à la négation de leur droit, la discrimination et la stigmatisation dont elles sont victimes au sein de la société.
Le Coordonnateur Sylvain Nambéï s'est réjoui du fait qu’ils ont eu à discuter avec les femmes séropositives sur leur capacité à dominer et à dépasser les problèmes de discrimination et de stigmatisation dans leur communauté.
Il a souligné que pour le directeur de l’ONUSIDA, Patrick Eba, ce dialogue est une réunion destinée à écouter ces femmes. Mais il pense pour sa part que c’est une réunion permettant au personnel soignant de mettre à la disposition de celles-ci des informations nécessaires à leur statut de séropositivité.
Il a noté qu’en plus de la problématique liée à la stigmatisation, ces femmes ont évoqué, au cours de ce dialogue, les questions d’appuis nutritionnels et fait savoir qu’ils sont en discussion avec les partenaires techniques et financiers afin d’améliorer les conditions d’accès à ces appuis nutritionnels.
Le coordonnateur du CNLS a déploré les pesanteurs religieuses qui pèsent sur ces femmes malgré leur résilience, notamment les groupes de prière qui prétendent qu’ils peuvent guérir la maladie du sida par la prière et le jeûne.
Les malades du sida sont déjà affaiblis et lorsqu’on les soumet au jeûne, on va davantage les affaiblir, a-t-il souligné, ajoutant que les nombreux malades qui ont refusé de fréquenter les centres de santé au profit des groupes de prière sont tous morts.
Il a fait observer qu’il n’y a et il n’y aura jamais conversion de la séropositivité à la séronégativité par les groupes de prière et pense que les groupes de prière utilisent les résultats de la charge virale qui est le comptage du nombre de virus dans le sang pour dire qu’après la prière les virus ont disparu.
Le Représentant adjoint du Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR), Pierre Eba, a indiqué que le VIH/Sida n’épargne personne : jeunes et vieux, pauvres et riches, y compris même des personnes en déplacement comme les réfugiés et les déplacés internes.
Il a réitéré qu’au niveau de Bangui, 30 personnes au sein de la communauté réfugiée vivent avec le VIH/Sida soit 1,2% de la population réfugiée de Bangui.
« Concernant les réfugiés d’Obo, ils sont au nombre de 150 personnes à vivre avec le VIH, soit 5,6% de la population de réfugiés vivant dans cette localité », a-t-il poursuivi.
Il convient de rappeler que ce dialogue organisé par l’UNFPA, le HCR, l’ONUSIDA, ANJFAS et le CNLS s’inscrit dans le cadre du slogan « Zéro nouvelle contamination d’ici 2030 ».
Le Coordonnateur Sylvain Nambéï s'est réjoui du fait qu’ils ont eu à discuter avec les femmes séropositives sur leur capacité à dominer et à dépasser les problèmes de discrimination et de stigmatisation dans leur communauté.
Il a souligné que pour le directeur de l’ONUSIDA, Patrick Eba, ce dialogue est une réunion destinée à écouter ces femmes. Mais il pense pour sa part que c’est une réunion permettant au personnel soignant de mettre à la disposition de celles-ci des informations nécessaires à leur statut de séropositivité.
Il a noté qu’en plus de la problématique liée à la stigmatisation, ces femmes ont évoqué, au cours de ce dialogue, les questions d’appuis nutritionnels et fait savoir qu’ils sont en discussion avec les partenaires techniques et financiers afin d’améliorer les conditions d’accès à ces appuis nutritionnels.
Le coordonnateur du CNLS a déploré les pesanteurs religieuses qui pèsent sur ces femmes malgré leur résilience, notamment les groupes de prière qui prétendent qu’ils peuvent guérir la maladie du sida par la prière et le jeûne.
Les malades du sida sont déjà affaiblis et lorsqu’on les soumet au jeûne, on va davantage les affaiblir, a-t-il souligné, ajoutant que les nombreux malades qui ont refusé de fréquenter les centres de santé au profit des groupes de prière sont tous morts.
Il a fait observer qu’il n’y a et il n’y aura jamais conversion de la séropositivité à la séronégativité par les groupes de prière et pense que les groupes de prière utilisent les résultats de la charge virale qui est le comptage du nombre de virus dans le sang pour dire qu’après la prière les virus ont disparu.
Le Représentant adjoint du Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR), Pierre Eba, a indiqué que le VIH/Sida n’épargne personne : jeunes et vieux, pauvres et riches, y compris même des personnes en déplacement comme les réfugiés et les déplacés internes.
Il a réitéré qu’au niveau de Bangui, 30 personnes au sein de la communauté réfugiée vivent avec le VIH/Sida soit 1,2% de la population réfugiée de Bangui.
« Concernant les réfugiés d’Obo, ils sont au nombre de 150 personnes à vivre avec le VIH, soit 5,6% de la population de réfugiés vivant dans cette localité », a-t-il poursuivi.
Il convient de rappeler que ce dialogue organisé par l’UNFPA, le HCR, l’ONUSIDA, ANJFAS et le CNLS s’inscrit dans le cadre du slogan « Zéro nouvelle contamination d’ici 2030 ».