Le nouveau renvoi du verdict du procès de "Général Andjilo" fait suite à une escalade des répliques à laquelle se livrent les parties depuis les plaidoiries de la défense.
Pour le compte du ministère public, le magistrat Ghislain Grésengué, a réitéré, vendredi 19 janvier 2018 à Bangui, les termes du réquisitoire développé 3 jours plus tôt par son homologue Eric Didier Tambo, qui a requis les travaux forcés à perpétuité à l'encontre de l'accusé.
Les dépositions des témoins passés à la barre sont des preuves palpables et constituent les éléments à conviction, a-t-il soutenu, ajoutant qu'il n’y a, en revanche, aucun témoin à décharge.
Connu pour ses exactions entre le 5 décembre 2013 et le 17 janvier 2015, Rodrigue Ngaïbona alias "Général Andjilo" a été appréhendé par la force de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation en Centrafrique (MINUSCA) et placé en détention au camp De Roux, siège de l'état-major général de l'armée centrafricaine.
Pour le compte du ministère public, le magistrat Ghislain Grésengué, a réitéré, vendredi 19 janvier 2018 à Bangui, les termes du réquisitoire développé 3 jours plus tôt par son homologue Eric Didier Tambo, qui a requis les travaux forcés à perpétuité à l'encontre de l'accusé.
Les dépositions des témoins passés à la barre sont des preuves palpables et constituent les éléments à conviction, a-t-il soutenu, ajoutant qu'il n’y a, en revanche, aucun témoin à décharge.
Connu pour ses exactions entre le 5 décembre 2013 et le 17 janvier 2015, Rodrigue Ngaïbona alias "Général Andjilo" a été appréhendé par la force de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation en Centrafrique (MINUSCA) et placé en détention au camp De Roux, siège de l'état-major général de l'armée centrafricaine.